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hélas aucun des deux sera relégué et nous acune chance d'être repéché....j'aimerais me tromper...

a rajouter: Cependant, les supporters vont devoir attendre encore dix jours de "closing" avant de voir le rachat validé, indique le média français, Avec cinq recrues, le directeur sportif du HAC Mathieu Bodmer et ses équipes ont été très actifs sur le marché des transferts. Godson Kyeremeh, Mory Diaw, Lionel Mpasi, Felix Mambimbi et Thomas Delaine, qui doit bientôt signer un contrat de deux ans en Normandie, ne pourront pas être "officiellement" enregistrés dans l’effectif rapporte à nouveau le quotidien français.

encadrement de la masse salariale prononcée par la DNCG mais..... Le Havre sauve sa place en Ligue 1 in extremis et obtient un rachat par BlueCrow. La DNCG impose une sanction pour la saison prochaine. Le Havre a évité la relégation à la dernière seconde. Lors de la dernière journée de Ligue 1, un penalty décisif inscrit face à Strasbourg a offert au club normand le maintien. Ce but libérateur, survenu dans les arrêts de jeu, a changé le destin d’une équipe au bord du gouffre. L’émotion a été vive au Stade Océane. Mais ce soulagement n’a pas effacé les incertitudes structurelles autour du club. Car au-delà de l’aspect sportif, c’est en coulisses que se jouait un autre match capital. Le rachat par BlueCrow : une manœuvre stratégique À la suite de ce maintien, les dirigeants havrais ont accéléré les discussions autour de la cession du club. Vincent Volpe, président du HAC depuis 2015, a annoncé la vente du club à BlueCrow Sports Group, société américaine spécialisée dans la gestion de clubs de football. BlueCrow détient déjà le CD Leganés en Espagne, Cancún FC au Mexique et AFC Eskilstuna en Suède. Son modèle économique repose sur un réseau international de clubs visant à mutualiser les ressources sportives et commerciales. Le Havre devient ainsi la première structure française à intégrer cette galaxie. Cette acquisition, officialisée en juin 2025, vise à apporter une stabilité financière au club et de rassurer les autorités de régulation du football professionnel français. Une décision attendue de la DNCG : l’encadrement sans sanction lourde La Direction Nationale du Contrôle de Gestion (DNCG) avait convoqué les dirigeants du Havre pour évaluer la viabilité du projet porté par BlueCrow. Le risque de relégation administrative n’était pas à exclure, comme cela avait été évoqué récemment pour l’Olympique Lyonnais. Selon les informations de Foot Mercato, la DNCG s’est montrée partiellement satisfaite du dossier. La sanction annoncée est un simple encadrement de la masse salariale, mesure souvent appliquée en cas d’incertitude sur les finances d’un club. Cette décision reste provisoire. Elle ne sera effective qu’après la finalisation officielle de la vente. Celle-ci doit intervenir dans les jours à venir.

un retour de PEA en Ligue 2 ça aurait été un coup d'éclat mais faut pas rêver....à moins que le club nous fasse "une Giroud" comme Lille....

attention à l'enflammade....

je le savais depuis mercredi dernier....info l'équipe et RMC...

les supporters havrais sont très spetiques avec l'arrivée de Blue Crow....ils sont contre la multiproprièté...et ont peur que cela ne profite pas beaucoup au club

info hs: Lyon : la DNCG réclame 200 M€ ! L'étau se resserre sérieusement autour de l'Olympique Lyonnais. Rétrogradé en Ligue 2 par la DNCG le 24 juin, le club rhodanien connaîtra son sort le 10 juillet à l'issue de l'examen de son appel. Pour espérer rester en Ligue 1, le septuple champion de France doit finalement injecter plus de 100 millions d'euros immédiatement dans ses comptes et garantir au moins 100 millions d'euros supplémentaires pour couvrir ses obligations jusqu'en fin de saison, affirme L'Equipe. Après l'éviction de John Textor, la nouvelle présidente, Michele Kang, pilote le montage du dossier aux côtés du nouveau directeur général, Michael Gerlinger, pour convaincre la DNCG après trois refus consécutifs. Les fonds devront être déposés sur un compte unique, avec une garantie ferme pour le reste. Les ventes de joueurs ou les promesses d'investisseurs ne suffiront pas cette fois : Lyon doit présenter des preuves tangibles pour éviter la relégation administrative. Rendez-vous dans une semaine pour le verdict final.

apparemment 3 départs prévus: Fomba, Maçon et Batu....et le club table sur l'arrivée de 4 joueurs donc 2 en défense et 1 latéral de niveau L1....Appiah devrait rester....à suivre

La DNCG a sanctionné l’OL d’une relégation en Ligue 2 mardi soir après le passage de John Textor face au gendarme financier. Une décision qui pourrait profiter au Stade de Reims… ou à Saint-Etienne. Qui jouera en Ligue 1 la saison prochaine ? Le casse-tête est énorme après la sanction infligée mardi par la DNCG à l’Olympique Lyonnais, relégué en Ligue 2 en attendant la réponse de l’appel. Un énorme coup dur pour John Textor, lequel était pourtant confiant à la sortie de son audition, et qui est certainement tombé de haut en début de soirée en apprenant la nouvelle. Rien n’est encore perdu, mais l’OL va devoir maintenant réaliser un miracle pour s’en sortir en appel. Si la décision venait à être maintenue, c’est le Stade de Reims, barragiste perdant contre Metz, qui serait alors repêché pour évoluer en Ligue 1 la saison prochaine. A condition de pouvoir passer la DNCG, ce qui n’est pas certain pour le club champenois comme le révèle RMC. La radio nous apprend que Reims a passé l’obstacle du gendarme financier avec un budget de 25 à 30 millions d’euros… pour la Ligue 2. Mais en cas de repêchage en Ligue 1, le club de Jean-Pierre Caillot devra repasser devant la DNCG, avec un budget forcément revu à la hausse. Or, le média explique que « cette fois le budget sera compliqué à revoir à la hausse. Car pour faire en sorte de compenser la descente en Ligue 2, le club a divisé les prix dans sa nouvelle campagne d’abonnement », détaille la radio RMC L'OL et Reims en difficulté, l'ASSE à l'affût Le mercato a également démarré avec l’idée de bâtir une équipe de Ligue 2 et Reims pourrait donc être confronté à un énorme casse-tête… susceptible de faire le bonheur de l’AS Saint-Etienne. Car si ni l’OL ni Reims ne peuvent jouer en Ligue 1 la saison prochaine, le prochain club sur la liste des repêchés n’est autre que l’ASSE, 17e la saison dernière. Et pour Kilmer Sport, qui n’a aucun problème financier, passer la DNCG avec budget adéquat pour jouer en Ligue 1 sera une formalité. La situation va donc être observée de très près par les dirigeants et les supporters du club stéphanois, qui n’ont peut-être jamais été aussi proches de remonter dans l’élite après les déboires de plusieurs de ses concurrents.

une petite info quand même une rétrogration en L 2 ne veut pas dire que le club soit autorisé à y jouer, si le budget pour la L2 ne pas bon Lyon peut descendre plus bas...hier soir sur RMC une hypothèse c'est que Lyon soit vendu (on parle de 700 millions ? avec le déficit) et reparte en L2 ou un dépot de bilan éventuel n'est pas à exclure...

Reims n'est pas passé les doigts dans le nez comme c'est dit un peu partout mais sur un budget L2 c'est passé difficlement et pour un budget éventuel L1 c'est sera autre chose....le club présenterait un déficit de 15 millions d'euros (un peu similaire au Havre) mais avec dégraissement de la masse salariale et vente éventuelle c'est passé pour le L2....à voir pour une L1...

Reims est passé de justesse pour la Ligue 2 mais il devra repasser avec un budget pour un répéchage en L1....si L'OL est rétrogradé officiellement...mais comme il y a appel, puis CNOSF et d'autres commission d'appel....le championnat aura démarré et tous les appels ne seront pas étudiés..

Reims est passé sans emcombre pour la Ligue 2 mais il devra repasser avec un budget pour un répéchage en L1....

il restera c'est le seul vert...

la saison de L1 Kilmer ne pouvait pas faire ce qu'il voulait faute des prolongations de contrats suite à la montée et obliger de garder les gens à bord contractuellement....seul le changement d'entraineur était possible...

gratouille37 - mar. 17 juin à 22h28 sur Bernard Lacombe n'est plus

un grand joueur encore parti trop tôt....condoléances à sa famille....toute une génération de joueur qui part les uns après les autres....une vrai génération de grand footballeur

il est palestinien....

Ca bouge à l'ASSE, mais pas au niveau transferts, mais niveau organigramme: L’ASSE entame une vaste réorganisation après la relégation, avec une réduction importante des responsabilités de Loïc Perrin sous la supervision directe de Gazidis. Le directeur sportif emblématique sera écarté du recrutement, tout en conservant un rôle limité au sein du club. Des noms prestigieux comme Antoine Sibierski et Frederic Massara sont pressentis pour piloter le nouveau projet sportif.

c'est pas Toubache qui avait annoncé Nanasi tout proche des verts....

il est normal de garder Perrin seul lien entre les supporters de l'ASSE et le club (un peu le régional de l'étape) mais il ne sera pas le responsable du recrutement...il partira soit de lui-même plus tard soit sera limogé en fin de saison...si pas de remontée en L1 ou un mercato raté....

Saint-Étienne : Ivan Gazidis, le président de l’ASSE sous surveillance: Il a brillé à Milan et Arsenal. Mais en France, Ivan Gazidis subit sa première crise. Peut-il encore inverser la tendance à l’ASSE ? Après trois décennies de succès dans les coulisses du football mondial, Ivan Gazidis affronte, à Saint-Étienne, son premier échec majeur. Porté par une méthode rationnelle et un leadership globalisé, l’ancien dirigeant d’Arsenal et du Milan AC doit maintenant composer avec la défiance d’un club relégué, d’un public en colère et d’un pays qui ne lui reconnaît encore aucune légitimité. Le 17 mai 2025, l’AS Saint-Étienne est officiellement reléguée en Ligue 2 après une saison désastreuse. Moins d’un an après sa prise de fonction, Ivan Gazidis, président du club, fait face à une contestation inédite. Les critiques pleuvent : mercato mal calibré, communication opaque, gestion procédurale et froide, absence de résultats. En quelques mois, l’ancien architecte de la résurrection du Milan AC est passé du statut de visionnaire à celui d’homme isolé sous surveillance. Ivan Gazidis, un dirigeant global face à la culture locale Né à Johannesburg le 13 septembre 1964, Ivan Gazidis grandit dans l’ombre d’un héritage politique fort. Son père, Costa, médecin chypriote, fut emprisonné pour ses activités anti-apartheid aux côtés de l’ANC. « Ils m’ont appris que le plus important n’est pas de voir le mal, mais d’avoir le courage de l’affronter », dira plus tard Ivan. C’est cette exigence morale, chevillée à une culture juridique anglo-saxonne, qui façonnera son rapport au pouvoir. Installé dès l’âge de 4 ans au Royaume-Uni, il fréquente la Manchester Grammar School, puis l’université d’Oxford, où il obtient un diplôme en droit tout en jouant au football universitaire. Il entame sa carrière comme avocat à Londres, avant de rejoindre les États-Unis au sein du cabinet Latham & Watkins. Le droit devient rapidement un levier pour autre chose : structurer, organiser, transformer. Relégation de l’ASSE : pluie de critiques sur le président En 1994, Ivan Gazidis rejoint l’équipe fondatrice de la Major League Soccer, ligue de football alors inexistante. En tant que numéro deux, il participe à tout : construction juridique, marketing, logistique, relations internationales. Il y développe une compétence rare : bâtir une institution sportive dans un marché vierge. La MLS deviendra un cas d’école du développement sportif en milieu hostile. Gazidis y apprend la force du système sur l’individu. Nommé directeur général d’Arsenal en 2009, il arrive dans un club financièrement fragile après la construction du stade Emirates. Il y impose une rigueur budgétaire absolue, sans sacrifier la performance sportive. Sous sa direction, le club reste compétitif tout en réalisant des bénéfices annuels. Il supervise aussi la transition post-Wenger, choisissant Unai Emery comme nouvel entraîneur. Mais cette décennie londonienne laisse un goût d’inachevé. Si Arsenal gagne trois FA Cups, il ne rivalise jamais vraiment avec les cadors européens. La gestion financière, saluée par les analystes, est perçue comme frileuse par les supporters. Le pragmatisme de Gazidis se heurte à la passion irrationnelle des stades. Une stratégie rationnelle confrontée à l’émotion du football français L’arrivée à Milan en 2018 représente son plus grand défi. Le club est ruiné, disloqué, à la dérive. En quatre ans, Gazidis opère un redressement spectaculaire : réduction de la masse salariale, réorganisation du recrutement, renforcement du marketing. En 2022, Milan remporte la Serie A et affiche un bilan financier à l’équilibre. Sa méthode fonctionne à plein : reconstruire avec rigueur, viser le long terme, changer la culture. Mais déjà, les tensions apparaissent. Son style managérial heurte la tradition italienne. Sa relation avec Paolo Maldini reste tendue. Il quitte Milan après la vente du club, fort d’un succès reconnu. Le 3 juin 2024, Kilmer Sports Ventures, dirigé par Ivan Gazidis, rachète l’AS Saint-Étienne. Le club vient tout juste d’obtenir sa montée en Ligue 1. L’arrivée de Gazidis, entouré de Huss Fahmy et Jaeson Rosenfeld (anciens d’Arsenal), suscite un mélange d’espoir et de curiosité. « Nous voulons nous appuyer sur l’histoire et les valeurs du club », déclare-t-il. L’ambition affichée est claire : installer durablement l’ASSE parmi l’élite. Le mercato estival est ambitieux : 23 millions d’euros dépensés, effectif profondément rajeuni. Mais très vite, les résultats ne suivent pas. Dall’Oglio est limogé en décembre, remplacé par Eirik Horneland. Le club termine 17e, relégué avec un goal-average catastrophique. La stratégie pensée pour le long terme se fracasse contre l’urgence du maintien. Gazidis assume publiquement sa part de responsabilité. Mais son obstination à défendre la jeunesse et la verticalité de son projet inquiète : a-t-il sous-estimé la spécificité française ? Peut-on appliquer les mêmes méthodes à Milan et dans le Forez ? Ivan Gazidis, entre méthode anglo-saxonne et réalité du Forez La saison est marquée par des critiques multiples : absence médiatique, direction procédurière, burn-outs internes. « Une direction en mode SOS Fantômes », titre L’Équipe. Son style, basé sur la rationalité, la distance et l’écrit, est vécu comme une forme d’arrogance technocratique dans un club où l’affect compte autant que la stratégie. Ivan Gazidis incarne un certain modèle de dirigeant du XXIe siècle : polyglotte, rationnel, éduqué, délié des ancrages locaux. Mais ce modèle, fondé sur la planification, l’analyse des données et la dépersonnalisation des décisions, trouve à Saint-Étienne un terrain hostile. Les attentes immédiates, la dimension populaire, la passion verte : tout échappe à sa logique. Son management collaboratif, pensé comme réponse aux figures patriarcales du football, se heurte à une culture française plus frontale. Sa vision en strates temporelles (court, moyen, long terme) est balayée par l’urgence des résultats. À trop vouloir penser au futur, il a peut-être oublié le présent. Malgré la relégation, Gazidis réaffirme son engagement. Il annonce une refonte du projet, des investissements accrus, et reste convaincu que l’ASSE peut redevenir un club de haut niveau. Il a connu des environnements difficiles. Il a redressé. Mais Saint-Étienne ne ressemble ni à Milan, ni à Londres, ni à New York. À 60 ans, Ivan Gazidis joue sans doute la fin de partie de sa carrière dans un championnat qu’il ne connaît pas, au sein d’un club qu’il ne maîtrise pas encore. Il est désormais sous surveillance, non plus pour ce qu’il promet, mais pour ce qu’il accomplit. Ce n’est plus le CV qui parle, mais le terrain. Et à Geoffroy-Guichard, il faut convaincre sans powerpoint. source: l'essentiel de l'Eco (journal économiste)

apparemment l'option d'achat n'a pas encore été levé le staff réfléchit pour un nouveau prêt d'Ekwah avec option d'achat obligatoire en cas de montée...

RUMEUR MERCATO/ Lucas Stassin sur le départ, Ivan Gazidis et Eirik Horneland n’ont pas perdu de temps pour dégainer leur plan B : Loren Morón, le “n°9” qui coche toutes les cases pour porter l’attaque stéphanoise. La tension monte dans les couloirs de L’Etrat. Lucas Stassin, star offensive de la saison, a tapé dans l’œil de West Ham et Stuttgart qui devrait proposer une somme record.. Le club doit se résoudre à anticiper un départ inéluctable. Ivan Gazidis, le stratège du mercato stéphanois, a misé sur un profil qui coche toutes les cases : Loren Morón. Un choix validé par Horneland et piloté par Gazidis Dans les bureaux du club, l’idée Morón n’est pas née d’hier. Selon nos informations, c’est Gazidis qui a repéré l’Espagnol grâce à des rapports détaillés de la cellule de recrutement, qui le suit depuis deux saisons en Grèce. L’aval d’Eirik Horneland, séduit par son profil de “goleador” et sa mentalité de leader, a été décisif. Dans le plus grand secret, Gazidis a multiplié les contacts avec les agents de Morón et avec la direction d’Aris Salonique. Une offre autour de 4.5 M€ est en préparation pour convaincre un club grec sous tension financière. À 31 ans, l’avant-centre espagnol a déjà prouvé sa valeur dans les contextes les plus chauds. Avec 40 buts, et 5 passes decisives au compteur en 70 matchs sous le maillot d’Aris, dont 14 buts cette saison (0,57 but/match), il a été le fer de lance d’un club souvent sous pression. Son profil séduit : 1m88, deux pieds, jeu dos au but, efficacité dans la surface, capacité à décrocher pour participer au jeu. “C’est un joueur qui assume son statut de leader, même quand l’équipe souffre”, explique un proche du vestiaire d’Aris. Son coach, Marinos Ouzounidis, ne tarit pas d’éloges : “Loren est un exemple pour nos jeunes. Il montre ce que c’est qu’un pro.” “Je veux me sentir dans un club où je peux être un leader, une famille. Je suis ouvert à toutes les options, mais je veux un projet ambitieux”, avait confié l’ancien attaquant du Betis Seville et de l’Espanyol à Marca l’été dernier. Selon nos informations, Aris Salonique a déjà refusé une offre de 4M€ d’un club saoudien. Mais l’ASSE avance avec sérieux et compte sur l’envie du joueur de rejoindre un projet humain et sportif. Sous contrat jusqu’en 2027 avec une clause à 5M€, Morón reste abordable pour l’ASSE, qui pourrait convaincre Aris autour de 4.5M€, en raison des difficultés financières du club grec. Gazidis sait que la fenêtre est courte : Aris a besoin de liquidités et pourrait accepter avant que d’autres clubs ne se positionnent. Gazidis joue aussi sur un salaire maîtrisé (350 000€/an), ce qui rend le dossier compatible avec les finances ligue 2 du club et les standards financiers du nouveau propriétaire qui vise la remontée immédiate en Ligue 1. Mais il mise surtout sur l’ambition du projet Stephanois pour convaincre Morón de sauter le pas. L’espagnol n’a pas encore donné sa reponse et les prochaines heures pourraient nous donner son verdict. L’ASSE a lancé les grandes manœuvres pour anticiper l’après-Stassin. Loren Morón incarne le projet de Gazidis : un buteur expérimenté, un leader naturel, une valeur sûre pour la remontée. Le dossier est chaud mais pas encore conclut.

sauf si Reims si repéché n'a pas les sous pour jouer en L1 et là ce serait nous....mais le Père Noel passe le 24 décembre au soir....et si ma tante en avait ce serait mon oncle...

autre info ou rumeur: Friio, Massara et Sibierski dans le viseur de Kilmer Sports ! En effet, l’ancien directeur sportif de l’Olympique de Marseille et de l’Olympique Lyonnais, David Friio, et l’ex-directeur sportif du Stade Rennais, Frédéric Massara, seraient tous deux sur la short-list de Kilmer Sports pour devenir le nouveau directeur sportif de l’ASSE. Libre depuis son passage à Rennes, Frédéric Massara connaît très bien le président des Verts, Ivan Gazidis, avec qui il a travaillé à l’AC Milan. L’actuel directeur sportif de Troyes, Antoine Sibierski, aurait, lui, été placé en tête de liste par la direction stéphanoise. Mais même s’il aurait été flatté par l’intérêt de l’AS Saint-Étienne, l’ancien joueur de Manchester City ne devrait pas quitter l’ESTAC cet été, le City Group ne voulant pas s’en séparer.

info importante pour notre club et pas des moindres: L’AS Saint-Étienne envisage déjà son avenir en Ligue 2, anticipant les ajustements nécessaires face à des conditions différentes de la Ligue 1. La relégation exige une gestion financière prudente pour éviter des complications économiques majeures, une réalité que le club doit désormais affronter. Le groupe Kilmer Sports Ventures, qui soutient le club, a élaboré des stratégies pour atténuer l’impact financier de cette descente. L’une des actions envisagées est l’augmentation du capital de l’ASSE, une décision cruciale qui sera soumise au vote lors de l’Assemblée Générale. Actuellement, le capital social de l’ASSE s’élève à 3 108 724,92 €, et la valeur totale de l’entreprise est estimée à 55 millions d’euros. Ces chiffres illustrent l’importance d’une gestion rigoureuse pour rester compétitif tout en respectant les nouvelles contraintes budgétaires. La direction du club se réunira le 11 juin pour discuter de cette augmentation de capital. Cette réunion marquera une étape essentielle pour s’assurer que l’AS Saint-Étienne reste sur la voie de la stabilité financière malgré les défis posés par la Ligue 2. La mission principale des dirigeants sera de trouver un équilibre entre la performance sportive et la gestion économique du club. À cet égard, Kilmer Sports Ventures joue un rôle clé en apportant son soutien et en guidant les choix stratégiques nécessaires. L’objectif ultime reste de remonter en Ligue 1 dès que possible, mais cela nécessite une planification et une exécution minutieuses de chaque aspect de la gestion du club, tant sur le terrain qu’en dehors.

ne croyez pas au Père Noel aucun club sera rétrogradé....j'aimerais me tromper....