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la saison de L1 Kilmer ne pouvait pas faire ce qu'il voulait faute des prolongations de contrats suite à la montée et obliger de garder les gens à bord contractuellement....seul le changement d'entraineur était possible...

gratouille37 - mar. 17 juin à 22h28 sur Bernard Lacombe n'est plus

un grand joueur encore parti trop tôt....condoléances à sa famille....toute une génération de joueur qui part les uns après les autres....une vrai génération de grand footballeur

il est palestinien....

Ca bouge à l'ASSE, mais pas au niveau transferts, mais niveau organigramme: L’ASSE entame une vaste réorganisation après la relégation, avec une réduction importante des responsabilités de Loïc Perrin sous la supervision directe de Gazidis. Le directeur sportif emblématique sera écarté du recrutement, tout en conservant un rôle limité au sein du club. Des noms prestigieux comme Antoine Sibierski et Frederic Massara sont pressentis pour piloter le nouveau projet sportif.

c'est pas Toubache qui avait annoncé Nanasi tout proche des verts....

il est normal de garder Perrin seul lien entre les supporters de l'ASSE et le club (un peu le régional de l'étape) mais il ne sera pas le responsable du recrutement...il partira soit de lui-même plus tard soit sera limogé en fin de saison...si pas de remontée en L1 ou un mercato raté....

Saint-Étienne : Ivan Gazidis, le président de l’ASSE sous surveillance: Il a brillé à Milan et Arsenal. Mais en France, Ivan Gazidis subit sa première crise. Peut-il encore inverser la tendance à l’ASSE ? Après trois décennies de succès dans les coulisses du football mondial, Ivan Gazidis affronte, à Saint-Étienne, son premier échec majeur. Porté par une méthode rationnelle et un leadership globalisé, l’ancien dirigeant d’Arsenal et du Milan AC doit maintenant composer avec la défiance d’un club relégué, d’un public en colère et d’un pays qui ne lui reconnaît encore aucune légitimité. Le 17 mai 2025, l’AS Saint-Étienne est officiellement reléguée en Ligue 2 après une saison désastreuse. Moins d’un an après sa prise de fonction, Ivan Gazidis, président du club, fait face à une contestation inédite. Les critiques pleuvent : mercato mal calibré, communication opaque, gestion procédurale et froide, absence de résultats. En quelques mois, l’ancien architecte de la résurrection du Milan AC est passé du statut de visionnaire à celui d’homme isolé sous surveillance. Ivan Gazidis, un dirigeant global face à la culture locale Né à Johannesburg le 13 septembre 1964, Ivan Gazidis grandit dans l’ombre d’un héritage politique fort. Son père, Costa, médecin chypriote, fut emprisonné pour ses activités anti-apartheid aux côtés de l’ANC. « Ils m’ont appris que le plus important n’est pas de voir le mal, mais d’avoir le courage de l’affronter », dira plus tard Ivan. C’est cette exigence morale, chevillée à une culture juridique anglo-saxonne, qui façonnera son rapport au pouvoir. Installé dès l’âge de 4 ans au Royaume-Uni, il fréquente la Manchester Grammar School, puis l’université d’Oxford, où il obtient un diplôme en droit tout en jouant au football universitaire. Il entame sa carrière comme avocat à Londres, avant de rejoindre les États-Unis au sein du cabinet Latham & Watkins. Le droit devient rapidement un levier pour autre chose : structurer, organiser, transformer. Relégation de l’ASSE : pluie de critiques sur le président En 1994, Ivan Gazidis rejoint l’équipe fondatrice de la Major League Soccer, ligue de football alors inexistante. En tant que numéro deux, il participe à tout : construction juridique, marketing, logistique, relations internationales. Il y développe une compétence rare : bâtir une institution sportive dans un marché vierge. La MLS deviendra un cas d’école du développement sportif en milieu hostile. Gazidis y apprend la force du système sur l’individu. Nommé directeur général d’Arsenal en 2009, il arrive dans un club financièrement fragile après la construction du stade Emirates. Il y impose une rigueur budgétaire absolue, sans sacrifier la performance sportive. Sous sa direction, le club reste compétitif tout en réalisant des bénéfices annuels. Il supervise aussi la transition post-Wenger, choisissant Unai Emery comme nouvel entraîneur. Mais cette décennie londonienne laisse un goût d’inachevé. Si Arsenal gagne trois FA Cups, il ne rivalise jamais vraiment avec les cadors européens. La gestion financière, saluée par les analystes, est perçue comme frileuse par les supporters. Le pragmatisme de Gazidis se heurte à la passion irrationnelle des stades. Une stratégie rationnelle confrontée à l’émotion du football français L’arrivée à Milan en 2018 représente son plus grand défi. Le club est ruiné, disloqué, à la dérive. En quatre ans, Gazidis opère un redressement spectaculaire : réduction de la masse salariale, réorganisation du recrutement, renforcement du marketing. En 2022, Milan remporte la Serie A et affiche un bilan financier à l’équilibre. Sa méthode fonctionne à plein : reconstruire avec rigueur, viser le long terme, changer la culture. Mais déjà, les tensions apparaissent. Son style managérial heurte la tradition italienne. Sa relation avec Paolo Maldini reste tendue. Il quitte Milan après la vente du club, fort d’un succès reconnu. Le 3 juin 2024, Kilmer Sports Ventures, dirigé par Ivan Gazidis, rachète l’AS Saint-Étienne. Le club vient tout juste d’obtenir sa montée en Ligue 1. L’arrivée de Gazidis, entouré de Huss Fahmy et Jaeson Rosenfeld (anciens d’Arsenal), suscite un mélange d’espoir et de curiosité. « Nous voulons nous appuyer sur l’histoire et les valeurs du club », déclare-t-il. L’ambition affichée est claire : installer durablement l’ASSE parmi l’élite. Le mercato estival est ambitieux : 23 millions d’euros dépensés, effectif profondément rajeuni. Mais très vite, les résultats ne suivent pas. Dall’Oglio est limogé en décembre, remplacé par Eirik Horneland. Le club termine 17e, relégué avec un goal-average catastrophique. La stratégie pensée pour le long terme se fracasse contre l’urgence du maintien. Gazidis assume publiquement sa part de responsabilité. Mais son obstination à défendre la jeunesse et la verticalité de son projet inquiète : a-t-il sous-estimé la spécificité française ? Peut-on appliquer les mêmes méthodes à Milan et dans le Forez ? Ivan Gazidis, entre méthode anglo-saxonne et réalité du Forez La saison est marquée par des critiques multiples : absence médiatique, direction procédurière, burn-outs internes. « Une direction en mode SOS Fantômes », titre L’Équipe. Son style, basé sur la rationalité, la distance et l’écrit, est vécu comme une forme d’arrogance technocratique dans un club où l’affect compte autant que la stratégie. Ivan Gazidis incarne un certain modèle de dirigeant du XXIe siècle : polyglotte, rationnel, éduqué, délié des ancrages locaux. Mais ce modèle, fondé sur la planification, l’analyse des données et la dépersonnalisation des décisions, trouve à Saint-Étienne un terrain hostile. Les attentes immédiates, la dimension populaire, la passion verte : tout échappe à sa logique. Son management collaboratif, pensé comme réponse aux figures patriarcales du football, se heurte à une culture française plus frontale. Sa vision en strates temporelles (court, moyen, long terme) est balayée par l’urgence des résultats. À trop vouloir penser au futur, il a peut-être oublié le présent. Malgré la relégation, Gazidis réaffirme son engagement. Il annonce une refonte du projet, des investissements accrus, et reste convaincu que l’ASSE peut redevenir un club de haut niveau. Il a connu des environnements difficiles. Il a redressé. Mais Saint-Étienne ne ressemble ni à Milan, ni à Londres, ni à New York. À 60 ans, Ivan Gazidis joue sans doute la fin de partie de sa carrière dans un championnat qu’il ne connaît pas, au sein d’un club qu’il ne maîtrise pas encore. Il est désormais sous surveillance, non plus pour ce qu’il promet, mais pour ce qu’il accomplit. Ce n’est plus le CV qui parle, mais le terrain. Et à Geoffroy-Guichard, il faut convaincre sans powerpoint. source: l'essentiel de l'Eco (journal économiste)

apparemment l'option d'achat n'a pas encore été levé le staff réfléchit pour un nouveau prêt d'Ekwah avec option d'achat obligatoire en cas de montée...

RUMEUR MERCATO/ Lucas Stassin sur le départ, Ivan Gazidis et Eirik Horneland n’ont pas perdu de temps pour dégainer leur plan B : Loren Morón, le “n°9” qui coche toutes les cases pour porter l’attaque stéphanoise. La tension monte dans les couloirs de L’Etrat. Lucas Stassin, star offensive de la saison, a tapé dans l’œil de West Ham et Stuttgart qui devrait proposer une somme record.. Le club doit se résoudre à anticiper un départ inéluctable. Ivan Gazidis, le stratège du mercato stéphanois, a misé sur un profil qui coche toutes les cases : Loren Morón. Un choix validé par Horneland et piloté par Gazidis Dans les bureaux du club, l’idée Morón n’est pas née d’hier. Selon nos informations, c’est Gazidis qui a repéré l’Espagnol grâce à des rapports détaillés de la cellule de recrutement, qui le suit depuis deux saisons en Grèce. L’aval d’Eirik Horneland, séduit par son profil de “goleador” et sa mentalité de leader, a été décisif. Dans le plus grand secret, Gazidis a multiplié les contacts avec les agents de Morón et avec la direction d’Aris Salonique. Une offre autour de 4.5 M€ est en préparation pour convaincre un club grec sous tension financière. À 31 ans, l’avant-centre espagnol a déjà prouvé sa valeur dans les contextes les plus chauds. Avec 40 buts, et 5 passes decisives au compteur en 70 matchs sous le maillot d’Aris, dont 14 buts cette saison (0,57 but/match), il a été le fer de lance d’un club souvent sous pression. Son profil séduit : 1m88, deux pieds, jeu dos au but, efficacité dans la surface, capacité à décrocher pour participer au jeu. “C’est un joueur qui assume son statut de leader, même quand l’équipe souffre”, explique un proche du vestiaire d’Aris. Son coach, Marinos Ouzounidis, ne tarit pas d’éloges : “Loren est un exemple pour nos jeunes. Il montre ce que c’est qu’un pro.” “Je veux me sentir dans un club où je peux être un leader, une famille. Je suis ouvert à toutes les options, mais je veux un projet ambitieux”, avait confié l’ancien attaquant du Betis Seville et de l’Espanyol à Marca l’été dernier. Selon nos informations, Aris Salonique a déjà refusé une offre de 4M€ d’un club saoudien. Mais l’ASSE avance avec sérieux et compte sur l’envie du joueur de rejoindre un projet humain et sportif. Sous contrat jusqu’en 2027 avec une clause à 5M€, Morón reste abordable pour l’ASSE, qui pourrait convaincre Aris autour de 4.5M€, en raison des difficultés financières du club grec. Gazidis sait que la fenêtre est courte : Aris a besoin de liquidités et pourrait accepter avant que d’autres clubs ne se positionnent. Gazidis joue aussi sur un salaire maîtrisé (350 000€/an), ce qui rend le dossier compatible avec les finances ligue 2 du club et les standards financiers du nouveau propriétaire qui vise la remontée immédiate en Ligue 1. Mais il mise surtout sur l’ambition du projet Stephanois pour convaincre Morón de sauter le pas. L’espagnol n’a pas encore donné sa reponse et les prochaines heures pourraient nous donner son verdict. L’ASSE a lancé les grandes manœuvres pour anticiper l’après-Stassin. Loren Morón incarne le projet de Gazidis : un buteur expérimenté, un leader naturel, une valeur sûre pour la remontée. Le dossier est chaud mais pas encore conclut.

sauf si Reims si repéché n'a pas les sous pour jouer en L1 et là ce serait nous....mais le Père Noel passe le 24 décembre au soir....et si ma tante en avait ce serait mon oncle...

autre info ou rumeur: Friio, Massara et Sibierski dans le viseur de Kilmer Sports ! En effet, l’ancien directeur sportif de l’Olympique de Marseille et de l’Olympique Lyonnais, David Friio, et l’ex-directeur sportif du Stade Rennais, Frédéric Massara, seraient tous deux sur la short-list de Kilmer Sports pour devenir le nouveau directeur sportif de l’ASSE. Libre depuis son passage à Rennes, Frédéric Massara connaît très bien le président des Verts, Ivan Gazidis, avec qui il a travaillé à l’AC Milan. L’actuel directeur sportif de Troyes, Antoine Sibierski, aurait, lui, été placé en tête de liste par la direction stéphanoise. Mais même s’il aurait été flatté par l’intérêt de l’AS Saint-Étienne, l’ancien joueur de Manchester City ne devrait pas quitter l’ESTAC cet été, le City Group ne voulant pas s’en séparer.

info importante pour notre club et pas des moindres: L’AS Saint-Étienne envisage déjà son avenir en Ligue 2, anticipant les ajustements nécessaires face à des conditions différentes de la Ligue 1. La relégation exige une gestion financière prudente pour éviter des complications économiques majeures, une réalité que le club doit désormais affronter. Le groupe Kilmer Sports Ventures, qui soutient le club, a élaboré des stratégies pour atténuer l’impact financier de cette descente. L’une des actions envisagées est l’augmentation du capital de l’ASSE, une décision cruciale qui sera soumise au vote lors de l’Assemblée Générale. Actuellement, le capital social de l’ASSE s’élève à 3 108 724,92 €, et la valeur totale de l’entreprise est estimée à 55 millions d’euros. Ces chiffres illustrent l’importance d’une gestion rigoureuse pour rester compétitif tout en respectant les nouvelles contraintes budgétaires. La direction du club se réunira le 11 juin pour discuter de cette augmentation de capital. Cette réunion marquera une étape essentielle pour s’assurer que l’AS Saint-Étienne reste sur la voie de la stabilité financière malgré les défis posés par la Ligue 2. La mission principale des dirigeants sera de trouver un équilibre entre la performance sportive et la gestion économique du club. À cet égard, Kilmer Sports Ventures joue un rôle clé en apportant son soutien et en guidant les choix stratégiques nécessaires. L’objectif ultime reste de remonter en Ligue 1 dès que possible, mais cela nécessite une planification et une exécution minutieuses de chaque aspect de la gestion du club, tant sur le terrain qu’en dehors.

ne croyez pas au Père Noel aucun club sera rétrogradé....j'aimerais me tromper....

défaite 3-0 face au Portugal

Paul Venot très bon joueur pour avoir suivi Angoulême en N2...

ce n'est pas anodin la date du 16 juin car la DNCG aura audit la plupart des clubs de L1 et L2...on saura dans quelle ligue on va jouer...même si je ne me fais pas de bile la L2 ce sera pour nous hélas!!!! mais avec les appels les contre appels la plupart des clubs endettés et recalés ne seront pas non plus dans quelle ligue...ils joueront

Yunis Abdelhamid (37 ans) a porté pour la dernière fois le maillot stéphanois lors de son retour à Reims, son club de coeur, le 10 mai (2-0). Arrivé libre l'été dernier, le défenseur central droit avait signé un contrat d'un an, plus une seconde année en option. Mais l'ancien international marocain (16 sélections) ne l'activera pas. Cette clause n'était en effet valable qu'en cas de maintien du promu stéphanois en Ligue 1. L'AS Saint-Etienne se trouvant officiellement reléguée depuis samedi soir et sa défaite face à Toulouse (2-3), Abdelhamid, 16 matches avec les Verts cette saison, se retrouvera donc libre à partir du 1er juillet. Il s'agit également du cas de Boubacar Sall, troisième gardien, du milieu de terrain Louis Mouton et de l'attaquant Ibrahima Wadji et du latéral gauche Léo Pétrot, qu'Eirik Horneland, l'entraîneur de l'ASSE, aimerait garder. Prêté cet hiver par le Dinamo Zagreb, le défenseur axial droit Maxime Bernauer ne devrait également pas rester, tout comme le milieu de terrain Pierre Ekwah, arrivé l'été dernier de Sunderland (D2 anglaise). La situation de l'attaquant Irvin Cardona (27 ans) devrait, elle, être étudiée de près par les dirigeants stéphanois. Prêté une seconde fois par le club allemand d'Augsbourg cet hiver, le natif de Nîmes n'a jamais caché sa volonté de rester chez les Verts. Que ce soit en Ligue 1 ou en Ligue 2. Son option d'achat, qui n'est pas automatique, s'élève à 3 millions d'euros. Après avoir grandement contribué au retour des Verts en L1 l'an passé, Cardona, auteur de 5 buts et 3 passes décisives en 15 matches de L1, pourrait rester pour les aider à remonter de nouveau.

il devrait aller au PFC

j'en sais rien mais la vente de certains joueurs Stassin Zuriko vont rapporter aux dirigeants et rallonger l'enveloppe....après le club a été racheté avec une équipe en L2 quelques jours avant les barrages la saison dernière...après tout dépend des joueurs comme Zuriko qui avait plutôt la tête ailleurs qu'à Sainté ce soir donc ne pas rester en L2....on va voir comment va se préparer la saison prochaine....dans les prochaines semaines au retour des vacances des joueurs...ah oui certains y étaient déjà

selon RMC l'audit du club devrait se terminer la semaine prochaine...des décisions devraient être prise pour garder Horneland ou changer d'entraineur et prévoir une enveloppe mercato qui serait plus importante la saison prochaine en L2....après ce que dis RMC il y a toujours à prendre et à jeter....

et on ne pourra pas espérer être repécher car Reims va jouer les barrages et il faudrait au moins deux clubs relégués par la DNCG (un repêchage pour le vaincu du barrage + nous) pour rester en L1 et comme je ne crois pas au père Noël donc....

le public chante " on est en ligue 2"

les supporters stéphanois sifflent....les cordons de sécurité se mettent en place....

Larso nous sauve au moins 4 buts ce soir

N Guessan va rentrer....

Cardona blessé va sortir

bon une saison a oublié...je suis dépité...

du coup 2-2 en Alsace....