Raymond Kopa de son vrai nom Kopaszewski .

Grande tristesse , des images me reviennent : ces 2 buts contre Lyon en 70 sous la neige pour un 6-0 pour les Verts . Ces corners déterminants pour la qualification contre le Bayern en 1969 . Le 2° but contre FC Nantes en finale de la Coupe de France . Ce but extraordinaire marqué à Carnus pour l'égalisation en fin de match contre l'OM en 1971 . trois minutes après Patrick Revelli marque le deuxième but et victoire contre l'ennemi juré 2-1 . La Coupe de France remise par Giscard d 'Estaing à notre Bérette en 1974 . Et le 3° but contre Split sur pénalty qui ouvre les portes de la qualification . Bravo Georges et merci pour ces fabuleuses années ; Condoléances .

Chambost à fait un bon match contre Laval , c'est un joueur qui marque et également un bon passeur ,de plus il tire bien les corners ce qui n'est pas le cas de beaucoup de joueurs ,il mérite largement d'être titulaire .

Hervé la foudre avait deux Krasso dans chaque jambe !!

Il ya quelques jours Laurent Hess a publié un article très pertinent (à mon gout ) sur Benjamin Bouchouari ,enthousiamé par son premier match contre Bastia , il nous laisse depuis sur notre faim ,aucune passe décisive ,un but très heureux contre Dijon , de partout et nulle part je prèfère de très loin Moueffek qui est beaucoup plus décisif .

Nous avons aussi notre géant vert Pavlovic qui pourrait le remplacer , notre Cascarino Stéphanois ?

Par moment il me fait penser à Larios ,

Romain Molina sur sa chaine YouTube parle des dirigeants de L'ASSE vivant dans un monde parallèle .

25 décembre 1956 ; ASSE 4 Nimes 0 - St-Etienne champion d'automne le jour de Noêl .

Ce match est resté ancré dans ma mémoire , les deux buts d'Hervé et celui de Salif , tous trois marqués sur corners ,la partie extraordinaire de Sepp Maier ,sans lui le Bayern prenait un carton ,ces verts étaient meilleurs techniquement que ceux de 76 . Camérini disait , à juste raison ,qu'ils pouvaient battre n'importe quelle équipe à domicile , dommage au tour suivant contre le Légia de Varsiovie l'arbitre annula un but de Salif Keita qui paraissait valable et Deyna nous cricifia en fin de match ,sinon nous aurions pu aller très loin et vivre une épopée fantastique .

Salif était bien le Pelé Stéphanois ,je me souviens d'un match contre Sedan ou il avait marqué 6 buts ,surement un record .

Pat ,j'ai vécu ce match contre Bordeaux de la même façon que toi, les Verts menaient 2-0 et petit à petit la féfrilité de Carnus ,qui se faisait siffler chaque foisqu'il avait la balle ce qui n'arrangeait pas les choses plus la décontraction de Bosquier on permis aux Girondins de refaire leur retard ,et de nous achever en fin de match par leur Brésilien Ruiter , la partie se termina dans la sidération et la colère car les supporters avaient bien compris quie le cinquième titre était très compromis .Comme je n'avais pas envie de quitter le stade ,je suis aller voir les joueurs à la sortie des vestiaires ( ce qui était facile à l'époque ) Je me souviens de nos deux lascars baissant la tête , très mal à l'aise et aussi de Roger Rocher qui voulait se battre avec des supporters très exités . Je ne suis pas d'accord avec Bosquier quant il dit que jouer contre l'ASSE était un match comme les autres , pour nous l'OM nous avait voler notre titre . ,c'est bien pour cette raison que dans les années 70 les matchs contre les Marseillais étaient beaucoup plus important que les derby , et la victoire impérative ,ce qui nous a vallu des matchs haut de gamme en émotion.

J'ai toujours le match contre Bordeaux en travers de la gorge , avec un Carnus complètement hors sujet , qui nous fait perdre le match 3-2 .

Pour ma part la meilleure ambiance que j'ai connu (1957 -2018 ) est bien le 5-1 contre Split , les Verts étant en osmose totale avec leurs supporters , je n'ai plus jamais ressenti cette sensation d'hystérie collective par la suite , meme contre Kiev .

L'inoubliable capitaine René Domingo dit Bill pour son amour des westerns qui participa aussi à la Coupe Latine à Madrid devant 100000 spectateurs ,il a été mon entraineur à l'école de foot de L'ASSE en 1958 ,de merveilleux souvenirs.

C'était Patrick Revelles .

Pas du tout l'esprit Stéphanois ,ce qui pour un Lyonnais est tout à fait normal .

Ce ne serait pas étonnant que ce pur Lyonnais ,cousin germain de Florian Maurice ,rejoingne son club de coeur,bon débarras si c' est le cas .

Par rapport à son style de jeu Roby ressemblait plus à Frantz Beckenbauer qu'à Johan Cruyff ( voir l'exellent article de Frace Football ) à ce sujet .

Merci l'ami ,le temps est aussi de la partie ,il pleut sur Sainté .

Très grande tristesse ,la disparition de Roby est un choc . Des images me reviennent : son premier match contre Nice le 29 septembre 57 ( j'avais 10 ans ) sa détente exceptionnelle dans le jeu de tête , et son aisance technique sidèrent les spectateurs qui on bien compris que ce jeune joueur de 18 ans est promis à une très grande carrière .Quelques années après son entente avec Rachid Mekhloufi faisait merveille ,ils se jouaient des défenses adverses tout en finesse en inscrivant beaucoup de buts . je me souviens aussi l'ors de la saison 62-63 en seconde division d'un but exeptionnel de Roby l'ors d'un retourné acrobatique ( la première bicyclette que je voyais ) et aussi les finales de Coupe de France contre Monaco-Nancy- Bordeaux et son troisième but contre les Nantais ,le fameux 5-0. La qualification contre le Bayern en 69 lui a permis de rester à L'ASSE ,car en cas de défaite il quittait le Club . Très belle carrière d'entraineur inspiré de ses maitres Jean Snella et Albert Batteux ,ainsi que du football total de L'Ajax . Roby est parti rejoindre son ancien capitaine René Domingo ,Michel Tylinski ,René Ferrier ,Claude Abbès ,François Vicart ,Eugène Njo Léa ,Durko et tous les autres qui nous on fait rêver .

Bon courage Monsieur Herbin ,Tout le peuple vert est avec vous .

Très bon anniversaire ,merci beaucoup .

Ta mémoire est bonne mezenc 43 , et ton commentaire parfait . Hervé était un buteur exceptionnel ( Hervé la foudre ) de 1966 à 1971 , après son retour de Nice en 73 , il avait changé et devenu plus collectif .Le public voulait Berdoll , il aura un peu plus tard Barthélémy qui ne réussira pas . Mon fils né le 12 décembre 1976 a un joli prénom : Hervé .

Par indulgent , je voulais dire que le public actuel est beaucoup trop tolérant avec les dirigeants et les joueurs alors qu'il devrait leur mettre d'avantage la pression . Même du temps des grandes équipes de L'ASSE les supporters étaient très exigeants et demandaient une remise en question permanente ,banderoles ,sifflets,bronca dans les tribunes remotivaient tout le monde l'orsque celà était nécessaire .

Public exceptionnel ,car bien trop indulgent par rapport à vos piètres prestations .

Braun aussi marqua 4 buts à CurKo en décembre 73 : FC Metz 5 ASSE 1 .

Oui une autre époque ,on pourrait ajouter que l'alccol n'était pas interdit , je me souviens contre Eindhoven en demi finale coté sud juste derrière les buts d'un gars qui avait à ses pieds une jerricane de 10l de vin blanc et qui généreusement distribuaient des verres autour de lui ,pas très bon ce breuvage , mais efficace pour l'ambiance . Il était aussi possible de suivre l'attaque verte en changeant de tribune . Anecdote amusante et surréaliste ,un match en particulier me revient à l'esprit ( pour l'année ,j'ai vérifié ) automne 74 contre le PSG de Just Fontaine ,les Verts sont menés 2-1 à deux mn de la fin ,égalisation à la 89 et victoire à la 90, ambiance indescriptible de folie derrière les buts Parisiens coté nord , j'étais en compagnie d'un sdf bien connu à l'époque et de son chien noir ,ça parait fou mais ne s'invente pas ,autres temps autres moeurs .

Moi aussi , mon joueur préféré de L'ASSE est Piazza .

Je ne savais pas que le sosie de Cruyff était décédé ,c'est bien triste . Oui Diable 666 le foot était merveilleux à cette époque . Johnny Rep ,Johan Neeskens et Rudi Krol étaient présents pour le jubilé de Roger Rocher en septembre 92 , inoubliable .