Mais enfin, la reconstruction n'était-elle pas déjà le projet de cette saison catastrophique, et celui d'il y a 5 ou 6 ans, je ne sais plus.
Ceux qui s'appliquent par leur incompétence a détruire peuvent-ils être ceux qui prétendent reconstruire. L'histoire du pompier pyromane se termine toujours mal. Faites place nette, balayer les parasite et ceux qui n'ont que pour référence d'être, ou des anciens nostalgiques, des enfants du pays, des responsables porteurs aujourd'hui d'une lampe de mineur pour éclairer un avenir sans réelles ambitions. Non contents de salir le club, ils nuisent à l'image de la ville.
Quoi que l'on en pense ou en dise, Puel était au centre d'un projet à moyen terme qui devait aboutir à la vente du Club et au départ des Présidents. Ceux qui l'ont engagé pour ce travail lui ont en même temps savonné la planche.
Saint-Etienne la ville double face, d'un côté la voyoucratie et ses hordes de décérébrés, de l'autre l'ouverture à l'innovation et à l'avenir avec la biennale du design et des manifestations culturelles de haut niveau. Hélas les médias se régalent avec le côté sombre qui nuit à l'image de la ville.
En son temps Roger Rocher avait dit:" les grands clubs ne meurent jamais" ajoutons: sauf si on les assassine. Bien que le patron des grandes années Verte ait commencé le travail avec l'affaire de la caisse noire, aujourd'hui les auteurs du crime sont avant tout les actionnaires et les présidents, surtout Romeyer dont la gestion, d'un côté se voulait paternaliste, à l'image d'une vieille bourgeoisie stéphanoise qui par le passé a entrainé le déclin de la ville, et de l'autre avant tout, quoi qu'ils en disent et s'en réclament, soucieux de leurs propres interêts.
Crier haro sur des joueurs qui ne sont pas moins bons que la plupart de leurs collègues de L1 évoluant dans les clubs du "ventre mou", c'est faire abstraction d'une gestion calamiteuse, d'un encadrement technique et sportif piteux, ainsi que d'un coaching sans inspiration fondé sur une réputation usurpée, incapable de les faire jouer ensemble dans un plan et une stratégie de jeu autre que des punch lines ridicule d'avant et d'après match.
Puel est parti pour des raisons de non compatibilité avec une marge de supporters nostalgiques de la lutte des classes. L'erreur a peut-être été de lui confier les clés du club, tout en attendant qu'il ne puisse ouvrir la porte d'un futur stabilisé. Il faut néanmoins reconnaître que sous sa houlette, il y avait du jeu et un groupe dont les fruits n'auraient pas tardé à être récoltés, même si cela aurait été à partir de la dernière place. Dupraz et son acolyte Sablé ( fils spirituel de Romeyer) ont bénéficié de ce travail, mais dès qu'il a fallu rentrer dans le dur, gagner des rencontres essentielles, Dupraz a montré l'étendue de son incompétence en désorganisant totalement l'équipe avec des compos et des plan de jeu (!) d'un autre temps. Aujourd'hui aucun avenir optimiste ne peut être envisagé sans le départ des présidents et de tous les parasites qui gravitent autour du Club, y compris certains dont les seules capacités se résument à leur ancienneté glorieuse . Se maintenir dans l'élite, c'est regarder le foot d'aujourd'hui comme il doit l'être avec ses qualités et ses défauts, ou bien accepter de descendre au plus bas pour retrouver les vertus du football amateur régional dont les nobles vertus n'ont plus cours au plus haut niveau. C'est un choix.
Excellente analyse de Gaël Perdriaux, il situe bien les responsabilités qui incombent aux présidents et aux actionnaires dont la gestion, d'un côté se voulait paternaliste, à l'image d'une vieille bourgeoisie stéphanoise qui par le passé a entrainé le déclin de la ville, et de l'autre avant tout, quoi qu'ils en disent et s'en réclament, soucieux de leurs propres interêts.
Crier haro sur des joueurs qui ne sont pas moins bons que la plupart de leurs collègues de L1 évoluant dans les clubs du "ventre mou", c'est faire abstraction d'une gestion calamiteuse, d'un encadrement technique et sportif piteux, ainsi que d'un coaching sans inspiration fondé sur une réputation usurpée, incapable de les faire jouer ensemble dans un plan et une stratégie de jeu autre que des punch lines ridicule d'avant et d'après match.
Puel est parti pour des raisons de non compatibilité avec une marge de supporters nostalgiques de la lutte des classes. L'erreur a peut-être été de lui confier les clés du club, tout en attendant qu'il ne puisse ouvrir la porte d'un futur stabilisé. Il faut néanmoins reconnaître que sous sa houlette, il y avait du jeu et un groupe dont les fruits n'auraient pas tardé à être récoltés, même si cela aurait été à partir de la dernière place. Dupraz et son acolyte Sablé ( fils spirituel de Romeyer) en ont bénéficié, mais dès qu'il a fallu rentrer dans le dur, gagner des rencontres essentielles, Dupraz a montré l'étendue de son incompétence en désorganisant totalement l'équipe avec des compos et des plan de jeu (!) d'un autre temps. Aujourd'hui aucun avenir optimiste ne peut être envisagé sans le départ des présidents et de tous les parasites qui gravitent autour du Club. Se maintenir dans l'élite, c'est regarder le foot d'aujourd'hui comme il doit l'être avec ses qualités et ses défauts, ou bien accepter de descendre au plus bas pour retrouver les vertus du football amateur régional dont les nobles vertus n'ont plus cours au plus haut niveau. C'est un choix.
Pour être publié aussi rapidement ce communiqué devait être déjà dans la poche des président. Preuve qu'ils artisans volontaires de la descente, mais dans quelle intention?
Très bon en Stand Up Dupraz, on lui avait dit qu'à Sainté c'était le bordel, mais il a pu s'exprimer en toute sérénité !
Logique non.
Une sait pas ce qu'il va dire avant une causerie et pendant sait-il ce qu'il dit ?
Je ne sais pas trop ce que les joueurs peuvent retenir d'un tel discours, peut-être qu'ils méritent leur place au classement ou qu'is avaient eu raison de musarder ( comme il dit) contre Troyes et Clermont. Musarder= glander en gros.
J'ai connu un amateur de Chateauponsac qui s'était tapé 25km à vélo pour rejoindre son équipe à Magnac Laval avec Riboul l'avant centre sur son porte bagage, parce qu'il avait raté le bus. Il a eu droit à un papier dans le Courrier du Centre.
C'est le niveau de l'Asse d'aujourd'hui.
Dupraz est un sanguin, sa réponse au commentaire de Boudebouz sur la fermeture nocturne d'un aéroport international comme Nantes, est quand même un peu sèche. Je me souviens d'un retour avec retard d'Outre Mer où j'ai du attendre l'ouverture pour poursuivre le voyage vers la province. On s'en fout d'accord, mais je le dis.
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Mais enfin, la reconstruction n'était-elle pas déjà le projet de cette saison catastrophique, et celui d'il y a 5 ou 6 ans, je ne sais plus. Ceux qui s'appliquent par leur incompétence a détruire peuvent-ils être ceux qui prétendent reconstruire. L'histoire du pompier pyromane se termine toujours mal. Faites place nette, balayer les parasite et ceux qui n'ont que pour référence d'être, ou des anciens nostalgiques, des enfants du pays, des responsables porteurs aujourd'hui d'une lampe de mineur pour éclairer un avenir sans réelles ambitions. Non contents de salir le club, ils nuisent à l'image de la ville.
Perrin à la reconstruction? Je ne pense pas qu'il ait les compétence pour ce chantier.
Mohamed si tu viens: https://unilocal.fr/c/france/saint-etienne/boite-de-nuit-club https://cafesaintjacques.com/le-toit-de-saint-jacques/ https://www.leprogres.fr/loire-42-edition-saint-etienne-metropole/2019/07/02/a-chateaucreux-un-rooftop-de-270-m-face-a-la-gare
Pauvre c.on, pas d'autres mots pour ce décérébré dont les plaisirs de la vie se concentrent dans les boites et les roofs tops.
Quoi que l'on en pense ou en dise, Puel était au centre d'un projet à moyen terme qui devait aboutir à la vente du Club et au départ des Présidents. Ceux qui l'ont engagé pour ce travail lui ont en même temps savonné la planche.
Saint-Etienne la ville double face, d'un côté la voyoucratie et ses hordes de décérébrés, de l'autre l'ouverture à l'innovation et à l'avenir avec la biennale du design et des manifestations culturelles de haut niveau. Hélas les médias se régalent avec le côté sombre qui nuit à l'image de la ville.
En son temps Roger Rocher avait dit:" les grands clubs ne meurent jamais" ajoutons: sauf si on les assassine. Bien que le patron des grandes années Verte ait commencé le travail avec l'affaire de la caisse noire, aujourd'hui les auteurs du crime sont avant tout les actionnaires et les présidents, surtout Romeyer dont la gestion, d'un côté se voulait paternaliste, à l'image d'une vieille bourgeoisie stéphanoise qui par le passé a entrainé le déclin de la ville, et de l'autre avant tout, quoi qu'ils en disent et s'en réclament, soucieux de leurs propres interêts. Crier haro sur des joueurs qui ne sont pas moins bons que la plupart de leurs collègues de L1 évoluant dans les clubs du "ventre mou", c'est faire abstraction d'une gestion calamiteuse, d'un encadrement technique et sportif piteux, ainsi que d'un coaching sans inspiration fondé sur une réputation usurpée, incapable de les faire jouer ensemble dans un plan et une stratégie de jeu autre que des punch lines ridicule d'avant et d'après match. Puel est parti pour des raisons de non compatibilité avec une marge de supporters nostalgiques de la lutte des classes. L'erreur a peut-être été de lui confier les clés du club, tout en attendant qu'il ne puisse ouvrir la porte d'un futur stabilisé. Il faut néanmoins reconnaître que sous sa houlette, il y avait du jeu et un groupe dont les fruits n'auraient pas tardé à être récoltés, même si cela aurait été à partir de la dernière place. Dupraz et son acolyte Sablé ( fils spirituel de Romeyer) ont bénéficié de ce travail, mais dès qu'il a fallu rentrer dans le dur, gagner des rencontres essentielles, Dupraz a montré l'étendue de son incompétence en désorganisant totalement l'équipe avec des compos et des plan de jeu (!) d'un autre temps. Aujourd'hui aucun avenir optimiste ne peut être envisagé sans le départ des présidents et de tous les parasites qui gravitent autour du Club, y compris certains dont les seules capacités se résument à leur ancienneté glorieuse . Se maintenir dans l'élite, c'est regarder le foot d'aujourd'hui comme il doit l'être avec ses qualités et ses défauts, ou bien accepter de descendre au plus bas pour retrouver les vertus du football amateur régional dont les nobles vertus n'ont plus cours au plus haut niveau. C'est un choix.
Excellente analyse de Gaël Perdriaux, il situe bien les responsabilités qui incombent aux présidents et aux actionnaires dont la gestion, d'un côté se voulait paternaliste, à l'image d'une vieille bourgeoisie stéphanoise qui par le passé a entrainé le déclin de la ville, et de l'autre avant tout, quoi qu'ils en disent et s'en réclament, soucieux de leurs propres interêts. Crier haro sur des joueurs qui ne sont pas moins bons que la plupart de leurs collègues de L1 évoluant dans les clubs du "ventre mou", c'est faire abstraction d'une gestion calamiteuse, d'un encadrement technique et sportif piteux, ainsi que d'un coaching sans inspiration fondé sur une réputation usurpée, incapable de les faire jouer ensemble dans un plan et une stratégie de jeu autre que des punch lines ridicule d'avant et d'après match. Puel est parti pour des raisons de non compatibilité avec une marge de supporters nostalgiques de la lutte des classes. L'erreur a peut-être été de lui confier les clés du club, tout en attendant qu'il ne puisse ouvrir la porte d'un futur stabilisé. Il faut néanmoins reconnaître que sous sa houlette, il y avait du jeu et un groupe dont les fruits n'auraient pas tardé à être récoltés, même si cela aurait été à partir de la dernière place. Dupraz et son acolyte Sablé ( fils spirituel de Romeyer) en ont bénéficié, mais dès qu'il a fallu rentrer dans le dur, gagner des rencontres essentielles, Dupraz a montré l'étendue de son incompétence en désorganisant totalement l'équipe avec des compos et des plan de jeu (!) d'un autre temps. Aujourd'hui aucun avenir optimiste ne peut être envisagé sans le départ des présidents et de tous les parasites qui gravitent autour du Club. Se maintenir dans l'élite, c'est regarder le foot d'aujourd'hui comme il doit l'être avec ses qualités et ses défauts, ou bien accepter de descendre au plus bas pour retrouver les vertus du football amateur régional dont les nobles vertus n'ont plus cours au plus haut niveau. C'est un choix.
Arrivé c.ouilles en main, Dupraz repart la queue entre les jambes.
Tu es sérieux là Titou75 ouin c'est du second degré?
A défaut d'avoir posé leur couilles, ils sont repartis la queue entre les jambes.
Pour être publié aussi rapidement ce communiqué devait être déjà dans la poche des président. Preuve qu'ils artisans volontaires de la descente, mais dans quelle intention?
Ne dites pas à Dupraz qu'il n'est qu'un modeste entraineur de division d'honneur, il se croit coach de l'Asse des grandes années.
Alonzi!
Ne dites pas à Dupraz qu'il coache une équipe de L1 il se croit en Départementale avec ses polémiques niveau Clochemerle, quelle honte pour l'Asse.
Le marteau c'est Dupraz, il ne vaut pas un clou.
A chaque rencontre Dupraz monte un dégré de plus sur l'échelle de l'incompétence.
Dupraz comme le match, nul !
Très bon en Stand Up Dupraz, on lui avait dit qu'à Sainté c'était le bordel, mais il a pu s'exprimer en toute sérénité ! Logique non. Une sait pas ce qu'il va dire avant une causerie et pendant sait-il ce qu'il dit ?
Et si plusieurs joueurs veulent le même numéro?
Je ne sais pas trop ce que les joueurs peuvent retenir d'un tel discours, peut-être qu'ils méritent leur place au classement ou qu'is avaient eu raison de musarder ( comme il dit) contre Troyes et Clermont. Musarder= glander en gros.
J'ai connu un amateur de Chateauponsac qui s'était tapé 25km à vélo pour rejoindre son équipe à Magnac Laval avec Riboul l'avant centre sur son porte bagage, parce qu'il avait raté le bus. Il a eu droit à un papier dans le Courrier du Centre. C'est le niveau de l'Asse d'aujourd'hui.
Les Ultra c. voudraient-ils la L2?
Les ultras par leurs outrances, le mot est faible, nous ont privés de notre liberté d'aller à GG pour Reims entre autres.
Je ricanne Dupraz est un peu bidon, il est pompant avec ses commentaires.
C'est normal, ils aiment ça.
Les connards sauvages vont nous refaire le coup de Jura Sud. Le pire est à craindre avec le noyautage du groupe par quelques imbibés de Kro.
Dupraz est un sanguin, sa réponse au commentaire de Boudebouz sur la fermeture nocturne d'un aéroport international comme Nantes, est quand même un peu sèche. Je me souviens d'un retour avec retard d'Outre Mer où j'ai du attendre l'ouverture pour poursuivre le voyage vers la province. On s'en fout d'accord, mais je le dis.
Ce n'est pas fini certes, mais au moins ça pimente une fin de saison bien triste.
Inexistant mais il mobilise les défenseurs qui le craignent toujours.