Nous avions tout de même un certain budget, même s'il n'était pas extraordinaire. Les dirigeants et recruteurs ont des comptes à rendre sur la façon dont cet argent a été utilisé. Il y a un gaspillage énorme:- le coût de la venue de Diony est exorbitant. J'ai regardé la video de ses buts, aucun geste, aucun tir de sa part qui ne sorte de l'ordinaire. Il me semble que la qualité et la promptitude de frappe est l'atout fondamental d'un avant-centre.- le prêt de Cabella exclut contractuellemment deux matches contre ce que l'on pouvait alors penser être un concurrent direct, - les prolongations des coûteux contrats de Hamouma et Perrin me paraissent très discutables,- le départ de Bayal fut une éorme bêtise, c'est lui qui tenait la baraque derrière et même devant parfois.- on paie le prêt du Brésilien Hernani et on ne le fait pas jouer !- combien a-t-on payé M'bengué ?Heureusement que Garcia a eu l'élégance de ne pas demande d'indemnités! La liste des gabegies est ouverte.

Le mot pansement est une bonne approche si l'on garde à l'esprit que ce pansement sera posé sur une jambe de bois.Le terme lavement me paraît plus approprié

Oui, la perspective de récupérer Tannane me paraît plus encourageante que celle de revoir Béric, dont on peut craindre qu'il ne refera pas surface après l'attentat de Ferri. Tannane a 23 ans, je crois, il est estimé par son entraîneur national et il devrait être motivé pour gagner sa place avec les lions de l'Atlas. Pour avoir un joueur de son potentiel il faudra y mettre très cher. Pour moi il est supérieur à Bamba, et pas beaucoup plus vieux.

Si vous avez la simplicité de croire que des actions intimidantes vont rendre des jambes et de l'adresse à nos joueurs, c'est que vous regardez trop de films de cow- boys. 

Oui, mais la précision de ses passes a du rendement et ce n'est pas une mince compensation. Cela fait gagner du temps. 

Je crois qu'entre votre pseudonyme et votre langage vous restez confiné dans vos excréments. Félicitations, mais ne stationnez pas trop ici, çà pue. Merci. 

Tout fut fait dans l'improvisation. Quel âge avez-vous Mr Romeyer ? Et vous manqueriez d'expérience ? Il n'y a décidément plus grand'chose à mettre à votre crédit.Ah si, nous broyons du noir, .... hommage subtil aux mineurs de fond .... fond que nous allons rejoindre ...

Merci pour vos approbations, mais je sais et j'en suis heureux, qu'elles sont en vérité un plébiscite pour le Sphinx, qui est la plus grande figure du club. 

L'avenir du club et l'image qu'il donne au pays n'est pas la seule affaire de la carrière d'un homme et du business d'un duo de pieds nickelés. Une ville entière est en attente. Et elle a besoin que le prestige de son équipe rejaillisse sur son dynamisme et son attractivité.

Comment voulez-vous qu'une jeune entraîneur sorti d'une expérience très moyenne en CFA puisse avoir une autorité sur des joueurs dont un certain nombre se prennent pour des stars ?  Par ailleurs s'il fut un joueur appliqué et généreux Julien Sablé, disons le, n'a jamais brillé par sa créativité. On peut dire cela sans chercher à l'offenser.Robert Herbin est sans contestation possible une des figures majeures et historiques de notre club. Qu'il utilise ce prestige pour faire contre poids aux dirigeants est salutaire. Après tout Robby ne brigue ni la place de Sablé ni même celle de Rocheteau.Notons, je le redis, que jusque là le Sphinx s'est toujours montré mesuré dans ses critiques. Il est sans aucun doute un des plus anciens et des plus valeureux et des plus pertinenst défenseurs des verts. Niçois à l'origine il est devenu stéphanois de coeur. Respect, Robby. Qu'on se lève !

Robert Herbin se fait de plus en plus précis et incisif dans ses déclarations alors que jusqu'ici ses déclarations étaient empreintes d'une grande mesure. Sablé doit se sentir bien isolé mais n'était-ce pas présomptueux de sa part d'accepter de saisir la patate chaude laissée par Romeyer.

Alors si Ménès le dit ... tout est dit ... qui oserait parler après l'otari ?

lI ne s'agit pas de mettre Loïc Perrin sur le banc d'accusation, mais d'interpeller les dirigeants sur la mauvaise gestion des joueurs. On se caressair dans le sens du poil en mettant en avant la fidélité du capitaine au club, encore faut-il discerner les tenants et aboutissants de cette pérennité dans le club. 

Il ne s'agit pas de culpabiliser Loïc Perrin pour ses blessures, mais les émoluments des joueurs nous autorisent à être exigeants, ils couvrent aussi en partie les risques inhérents au jeu. Nous devions changer de cadre défensif depuis déjà longtemps. Le copinage n'est pas une bonne chose dans ce type de négociation et de construction d'équipe en vue de l'avenir.Romeyer a fait du passé et de la nostalgie un fond de commerce. 

Ou plus car dans le cas de blessures récurrentes on ne peut pas écarter une opération ... de plus ... malheureusement pour lui et pour nous ... mais n'était-ce pas prévisible une fois de plus ... 

Je crois que ce monsieur voit juste. 

Je crains que les pygmées aient à se griser de votre vin chaud, ... je n'ai pas dit chaud vin ... quoique ... 

Le club aurait dû prévoir la succession de Loïc Perrin depuis au moins trois ans. La présence de Bayal lui avait permis de se trouver en situation protégée, les interventions derrière le roc étaient rendues plus aisées et cela a fait illusion. Le staff a fermé les yeux sur ses blessures récurrentes . sans doute Loïc doit-il en grande partie à sa popularité auprès des kops le renouvellement de son contrat. Belle situation pour lui. C'est encore une prolongation coûteuse pour le club. Nous sommes sans leader de défense, sans leader tout court d'ailleurs.

Bien parlé, Macho grande; Le supporteur stéphanois vit dans le mythe de la grandeur du club et dans le mythe de sa propre grandeur. Pour moi je crois qu'en ce moment par son agressivité et ses insultes, il apporte davantage de nervosité chez les joueurs et certainement pas plus de motivation.Hier nous avons vu des joueurs engagés dans le jeu, même si la tecnique et la réussite n'ont pas suivi. 

L'ASSE n'est pas une grande équipe. Elle eut par le passé une grande équipe et on essaie 40 ans après de ramasser les miettes de sa gloire et de faire les fonds de tiroir pour en  récupérer quelques oripeaux  qui pourraient encore servir à camoufler la médiocrité actuelle.Le maillot noir est beau certes, mais sert-il l'image de notre ville ? Je crois le contraire, elle perpétue l'idée d'une ville industrielle du passé alors même que naissent des activités de pointe.Le bluff est l'empreinte de la politique de Mr. Romeyer. On avance des grands noms et on recule. Le grondement de la vox populi conduit à la démagogie. On a recours à des noms populaires Rocheteau, Sablé. On dépense dans la précipitation, on gaspille, on prolonge "ad vitam aeternam" des joueurs à problèmes.Sablé est un homme méritant mais quelle présomption de sa part de se  croire l'homme de la situation!

Nous avons grand plaisir à lire vos délicats poèmes. Avec vous on a la vraiment preuve que le supporter stéphanois est vraiment d'une qualité bien supérieure à celle de l'équipe. 

Voilà une analyse mesurée et pleine de bon sens. Disons aussi que ces temps ci les incidents de jeu ne jouent pas en notre défaveur : ainsi penalty refusé, tir sur la barre et quelques fautes nantaises très opportunes.Quant à la nouvelle rechute de Perrin, elle n'est plus une surprise depuis longtemps et montre l'incapacité des dirigeants à regarder la triste réalité en face. 

Le recours radoteur à la légende verte est un jet incessant de poudre aux yeux qui devient insupportable pour les fidèles du club et depuis belle lurette risible pour nos concurrents.Le club lui-même est devenu un Musée de figures de cire. Mr Romeyer 's Waxwork Institute. Nous avons même des joueurs en pâte à modeler.La promotion copinage et le cocooning font la nique à la vraie compétence.

Les joueurs ont incontestablement pris le match au sérieux. On ne peut leur faire le procès de la désinvolture. Il fallait voir les visages. Les lacunes en termes de technique individuelle ont été maintes fois décriées, mais la faillite du jeu collectif est tout aussi grave si ce n'est davantage. Les joueurs ne jouent pas ensemble. Le possesseur du ballon n'a presque jamais de soutien. Il n'y a pas d'esprit fédérateur. A cet égard la responsabilité de l'entraîneur, du directeur sportif  et du capitaine est engagée.Quant à la valeur intrinsèque des joueurs, ceux qui doivent être mis sur la sellette ce sont les recruteurs qui devraient rendre gorge des sommes qu'ils ont encaissées et du trou budgétaire qu'ils ont creusé impunément. Quand on gagne autant d'argent, quand on touche des dividendes, on dot aussi être pénalisé financièrement par la faillite due à l'incompétence.

Courage ou opportunisme ? ... opportunisme compréhensible, certes, mais quel club de L1 aurait offert un CDI à Sablé ? 

Peut-être que Domenech fait là un cadeau empoisonné à son club préféré ...

Perrin n'avait plus qu'à faire la récolte. 

Notez que c'est la première fois que le Sphinx égratigne sans ambigüité le capitaine.

Ce n'est pas Perrin qu'il fallait garder. Il était temps de tourner la page avec le capitaine et pour le capitaine. J'ai entendu peu de supporters manifester leur inquiétude après le départ de Bayal. On voit bien la différence.

ouahh ! là Robby n'a pas parlé la langue de bois ! Vérités qu'il était nécessaire de dire ! Et encore je pense qu'il en a gardé sous la pédale ...