Prompt et complet rétablissement, Neven. Le public vous apprécie beaucoup.

La guigne, Robby! La poisse, la guigne , la mouise, la faute à pas de pot ... Ce match et ses conséquences risquent de peser lourd .

Défaite injuste et jour de poisse. Ce match avec les blessures de Subotic et Debuchy va peser très lourd pour la suite.  Il va falloir que Gasset réinvente une défense. Le mercato d'hiver doit passer par le recrutement d'un défenseur d'avenir.

Je réponds à notre ami Zokora pour justifier un intuition défaitiste.Lorsque nous avons l'opportunité d'approcher le podium, nous sommes souvent décevants, cher Zokora. Bordeaux vient de tenir tête au PSG, notre défense est à nouveau remaniée, notre attaque n'a toujours pas trouvé une configuration complémentaire, nos bonnes performances sont trop souvent suivies d'un contre coup décevnt, enfin  la pression du public ne sera pas en notre faveur.Evidemment pour ne pas  être trop déçu, je joue aussi la carte défaitiste. 

Moi je sens très bien. Nette victoire bordelaise. 

Béric ? que vaut-il en contre ? 

En voilà un qui a l'étoffe d'un cadre. En haut lieu souhaite-t-on le garder ? J'espère que oui. Quant aux frappes de loin il va falloir qu'il s'y mette cardevant les défenses groupées, c'est ne arme utile et spectaculaire.

Cher Indobulo, merci. Votre prose fut d'une grande aide et a tintinnabulé mélodieusement à mes oreilles.  Il faudra tout de même que je fasse changer les ampoules de mon lampadaire, très secoué au cours des évènements récents. Je vois bien que mes propos sont peu éclairants.

Je n'ai pas en mémoire un joueur dont on alimente  le prestige ( local ) par un florilège de conditions aussi optimales. C'est bien d'ailleurs au moment le plus aisé qu'il est entré en jeu contre Nantes.Je n'ai rien contre le joueur, mais cette transfiguration du réel relève chez certains adorateurs de la vision mystique. Amen!

Devant les défenses regroupées à GG, voilà le type de situation de jeu dans lequel Béric peut être utile en effet . Maintenant si les deux buts en deux matches  réalimentent l'imaginaire des sectateurs bérichons, je n'ai rien vu quant à moi  d'extraordinaire sous la semelle du Slovène. Les conditions de sa rentrée étaient optimales. Son joli but est à saluer mais celui de Kahzri et celui de Kolo le sont a fortiori.

Dur d'être blessé et de se faire cracher dessus par la ventripotence.

Certaines blessures à l'épaule sont particulièrement douloureuses et rendent le moindre choc insupportable. Je peux en témoigner. Ceux qui ouvrent la bouche pour médire, l'ouvriraient encore plus grande pour couiner s'ils souffraient de la même lésion.S'il ya un médecin dans la salle, il pourra confirmer.

Si la chère et tendre épouse de ce Brizart s'appelle Marie, il faudra le faire souffler dans le ballon ou faire venir la brigade des alcools ...Nous n'avons pas envie de trinquer, nous.

Pas de quoi trop s'inquiéter, un Espagnol m'a confié que souvent Sala manque.

Il y a une étrange et gênante constance à toujours mettre la responsabilité des matches médiocres de Béric sur les épaules de ses coéquipiers. Heureux homme qui constamment bénéficie de l'indulgence du jury.On ne fut pas aussi indulgent en son temps avec un Piquionne dont le départ marqua pourtant l'extinction progressive de son compère Ilan. Certes Piquionne était maladoit mais du moins  il bougeait la ligne adverse.Devant personne aujourd'hui ne met de l'impact à défaut de grand talent.

J'ai en mémoire certains de vos gestes et de vos nombreux buts, cher Hervé Revelli, et vous êtes donc bien aimable et bien indulgent à l'égard d'un joueur moyen.Nordin montra sur son retourné et une ou deux frappes contrées ce que l'on peut attendre d'un avant-centre. Et que l'on attend en vain de vous, Monsieur Béric. Vous avez pourtant le soutien inconditionnel d'une grande partie du public.

Prime à la casse ?On ne peut éluder l'observation suivante: tout se passe comme si lors de nos matches à Lyon, il y avait régulièrement dans leur effectif un joueur préposé au travail de casseur de jambe.De ferri à Rafael, étalage obscène de cynisme. Mais l'exemple vient d'en haut.

J'ai failli m'étouffer en vous lisant. gerd Muller était une bombe. C'est à prpos de ce but rafistolé que vous évoquez le buteur du grand Bayern !!!! Béric n'a rien fait de bon dans ce match. Il a été iransparent comme l'éccrivent d'ailleurs plusieurs commentateurs. Ce garçon est statufié de son vivant. Nous cocufiés par ce mythe du Sauveur que l'on attend.

La légende devient petit à petit une rubrique nécrologique. A quand la sonnerie aux morts. Le prestige du maillot vert vif d'antan a été essoré, utilisé et usé tant qu'il est effiloché et fait autant sourire qu'une guenille de carnaval.

Constat sévère et peu réjouissant mais criant de vérité. Merci Lifegreen. 

Nous nous sommes fait battre par Bobichon et A la couche ... et notre Bérichon a marqué  dans une position digne de la compagnie des wagons lits.

La venue de Jean Louis Gasset ne s'est pas accompagnée d'une véritable refondation. Le travail en profondeur est entièrement à faire. Je ne dis pas "à refaire" car depuis des années nous nous contentons d'expédients.Les résultats sont globalement assez bons certes mais tributaires d'une dépense inédite chez nous. Si les joueurs recrutés à prix d'or représentaient l'avenir du club, je ne serais pas inquiet, mais hormis Debuchy peut-être, nul ne peut être sûr de détenir les piliers sur lesquels asseoir le jeu pour les années qui viennent.Qui plus est nous ne savons pas recruter des joueurs réellement prometteurs.

Avec Abi nous sommes protégés car Abi tackle.

Moi j'échangerais bien une ou deux fumigènes contre quelques-une de leurs joueurs. compte tenu de l'intérêt supérieur que je porte à ce qui se passe sur l'herbe et non pas en tribune. 

Tout ce que je peux diren c'est que Abi ne fait pas Lemoine. 

Il y a eu tout de même des éléments positifs dans le jeu des verts. Je note une nouvelle fois qu'il nous manque un ou deux joueurs dont la qualité de frappe soit déterminante. Cette lacune ne date pas d'aujourd'hui. 

On voit de près la gueule de crapule de Rafael, le mal nommé. 

S'est-il passé un seul match à Lyon d'où l'on sorte sans une décision ou une non décision d'un arbitre qui ne soit pas pénalisante por nous ?

Nous sommes dans les pratiques fachos qui rappellent celles d'un certain patronat qui a volontiers recours à des milices privées ou à des nervis peu recommandables. 

Victime du fanatisme villageois. C'est triste de ne sentir chez soi ni chez les uns ni chez les autrres.