De cloches ? cela va être un sacré concert ...  

Apparemment le tri sélectif n'est pas pratiqué sur ce site. 

 Je partage votre raisonnement. Le prêt de Saliba aurait certainement un coût, vraisemblablement égal au transfert définitif de Kolo. ( enfin je suppose )Je suis partisan de bâtir pour l'avenir avec des joueurs d'avenir qui assurent un minimum de continuité. L'esprit vert c'est çà avant tout.

Un peu de réalisme économique est en effet salutaire.

Et qu'en dit le joueur en toute sincérité ?

Voilà en effet la réalité toute nue.

L'inverse n'est-il pas plus risqué ? La présence du seul Saliba a-t-elle transfiguré l'équipe ? 30ME cela représente 10ME par ligne si je sais compter, il y a de quoi métamorphoser l'équipe.

Notre club n' a pas le standing suffisant pour se priver d'une manne de 30ME. Il est toujours possible de rêver, mais ce joueur ne fera pas carrière chez nous, nous le savons tous. La somme nous permettra de nous renforcer durablement, c'est cela qui compte. Notre équipe a trop d'insuffisances et ce n'est pas Saliba qui les peut combler toutes, sauf par un transfert rémunérateur.Encore une fois la crainte c'est de renouer avec des investissemnts inconsidérés et à mauvais escient.

Personnellement je ne suis pas forcément favorable à la solution du transfert suivi du prêt pour deux raisons:- je suis las de ces solutions éphémères qui ne permettent pas de construire à moyen terme,- une vente sèche peut nous valoir un transfert plus rémunérateur qui avec le seul supplément peut déjà nous permettre de recruter ( par exemple 5ME de plus ne serait pas négligeable ),- n' ayant que fort peu de goût pour le masochisme, je n'ai pas envie d''éprouver davantage de dépit dans un an lorsque le matru aura mûri.La question récurrente c'est : les dirigeants seront-ils capables de faire fructifier la manne céleste par un recrutement intelligent. Tout est là. Nous allons bénéficier d'une opportunité inédite, attention au tournant.

Béric ne montre rien avec la Slovénie et marque principalement quand tout tourne bien, c'est une évidence. Avec lui on est dans le mythe, on se raconte, on spécule sur l'irréel. Pour moi c'est un assez bon avant-centre mais ce n'est pas suffisant pour ce qui nous attend.Je pense que s'il n'était pas un grand blond avec une chaussure noire et des blessures de guerre, il n'aurait pas la même cote auprès du public.Curieusement pour le faire valoir on le compare à Diony. Trop facile. Diony n'a rien à voir à l'affaire.

Je vois que vous êtes du genre à cracher dans la soupe.

Je pense que vous avez raison de brosser ce tableau noir car ce scénario est loin d'être invraisemblable si on ne hausse pas la réflexion sur le mercato. Faute de monnaie il faut de l'intelligence dans les choix. Il faudra savoir trancher et se séparer de crtains salaires trop lourds, savoir négocier au plus haut au moins deux ou trois joueurs banquables , comme on dit.

Pour moi ce serait une erreur de laisser partir Tannane sans compensation financière. Les Printant, Sablé & Cie sont payés assez cher pour remettre Tannane  dans le droit chemin. Cette saison, ni la précédente d'alleurs cela n'a pas été brillant sur les ailes. Pour moi Tannane est meilleur que Diony, entre autres ... Ce n'est pas le diable.

Il n'est pas très convenable de laisser poireauter Carotti.

Plutôt que de les solder, oui, je vous trouve pragmatique et efficace.

L'urgence est de savoir à quoi s'en tenir avec M'Vila et Saliba car dans l'attente il n'y aura que des solutions médiocres  et des demi-mesures.

La clef du mercato est la réussite de la négociation du cas Saliba. Puisque son départ d'ici un an semble incontournable, la solution envisagée par les dirigeants me semble bonne sous condition qu'ils ne fléchissent pas sur les conditions annoncées ( 30ME + prêt 1 an ).Une somme inédite pour le club, elle permettrait de structurer l'équipe avec une vision d'avenir.

Sur le papier çà brille en effet, mais on ne construit pas l'avenir.

N'oubliez jamais Salif Keita, ni Rachid Mekloufi . 

Sa hargne et son panache en font une des grandes figures vertes. Une espèce de Pavarotti du ballon. Magie et jubilation. Merci.

Disons que le club ne pourra pas toujours se montrer aussi dispendieux. Gasset a été privllégié côté budget

Robocho ? C'est pas un fromage AOC ? .... Label rouge j'espère.

On a déjà, il y a un an en arrière, senti l'hésitation de Jean Louis Gasset à aller au-delà de la période d'urgence. Ne faisons donc pas semblant de tomber des nues. Les larmes de crocodile de certains joueurs à son départ ne sont pas rassurantes: était-il vraiment le Grand Sorcier ? je n'en suis pas sûr. Avait-il lié des relations privilégiées avec certains joueurs qui lui doivent d'être sortis de l'ornière ? Certainement.Le fait que Gasset confiait les entraînements au quotidien à Pintant et Sablé, le mettait largement à l'abri de certaines tensions. Printant a peut-être déjà usé ses méthodes et discours, il est peut-être déjà " démythifié " dans le sens où les joueurs l'ont déjà pratiqué et savent un peu trop comment il fonctionne.Les anglais disent " familiarity breeds comtempt " , la familiarité engendre le mépris. A coup sûr elle engendre un confort pernicieux. Je crois que Lifegreen a lui aussi exprimé cette crainte.

Il ne faut pas s'épancher à la fenêtre.

Vers l'ouest ...

Moi j'aime bien les joueurs dotés d'une frappe puissante. Or ce Waris a des explosifs dans les jambes. Un de ses tirs victorieux fut mesuré à 120km/h. J'attends de voir çà.

Au diable la Waris ! Cassons la tire-lire !               ( non déconnons pas , gardons nos sous , y a mieux )

De stabilité à stagnation , de stagnation à pourrissement, de pourrissement à déliquescence, de déliquescence à putréfaction, de putréfaction à inhumation ...Le foie, vous dis-je ...                ( non, je déconne, c'est pas obligé, rassurez-vous )

Oh le minimum en BD, mon cher Tajabone, mais j'espère toujours la publication des aventures de nos Tournesol et capitaine Haddock dans "Tintin et l'Or Vert", aux éditions "La lampe de Mineur".

 Et toc ce n'est donc pas un tocard ! pourtant nous avons des tocs en stock.