C'est peut-être le moment d'essayer Debuchy en défense centrale.

Nous avons été trop longtemps dans la gestion de l'antique gloire et pas pris les dispositions anticipées qu'il convenait de prendre. Cela dit je salue avec respect Loïc et lui souhaite courage. Malheureusement je crains que cela ne soit pas une fausse alerte.

!!!

On peut craindre le pire pour sa fin de carrière. Son genou droit n'a-t-il pas été l'objet de ses premiers graves déboires ?

Ben, ce discours sans violence déplaira aux excités, mais je le trouve sain, raisonnable et très professionnel.

L'insulte c'est indéniable améliore la qualité de contrôle, la puissance de tir et le sens collectif.

Je suppose que la dernière séance est celle de la mise place du système.

Pour sûr les insultes ont toujours motivé les joueurs et obtenu des résultats miraculeux.

Je crois, Lubodinho, qu'il y a dans mes propos plus de moquerie que de leçon de morale. Moi je n'ai pas de diplôme de supporteur à exhiber, pas d'écharpe, pas de fétiche, pas d'abonnement, pas de date, pas de tatouage, pas d'autographe, pas de panoplie de guerrier ...

Je n'adule personne. Et je suis bien au contraire ennemi du fanatisme.que je dénonce régulièrement parce que souvent il déborde de l'aspect sportif et prend une dimension politique ambigüe et dangereuse. Maintenant concernant les salaires, entre la sécurité matérielle qu'elle assure et les certitudes sur le terrain, il me semble qu'il n'y a aucun rapport. Je pourrais mettre en cause le simplisme qui consiste à répéter en boucle qu'il faut mouiller le maillot, moi je prétends que le problème n'est pas là.

La différence entre Gasset et Puel réside d'abord dans les circonstances et les moyens. Ensuite dans le projet, l'un fut à vue courte, l'autre est à moyenne voire longue portée. Les personnalités ? l'un est paternaliste et protecteur de certains, l'autre essaie de redistribuer les cartes. L'un a un faux côté popu, l'autre est supposé côtoyer la "haute".

On voit en lisant vos posts combien le supporteur stéphanois soutient son équipe en toutes circonstances et que les joueurs en plein doute peuvent toujours trouver ici du réconfort. Qui dit que les verts ne sont pas dignes de leur public .? Je trouve même qu'ils sont au-dessus.

Avant tout il manque un collectif. A cet égard on a vu la leçon donnée par Dortmund contre les individualités parisiennes.

Si on pouvait compter sur eux pour la coupe et le derby, au moins une fraction de temps réglementaire, ce serait un plus.

Ruffier n'avait-il pas déclaré après l'association Saliba - Fofana et en l'absence de Perrin ( contre Monaco ? ), on a retrouvé une stabilité défensive.

Terrain miné.. Difficile en effet pour le supporteur moyen de démêler les responsabilités. Néanmoins il semblerait logique que le recruteur propose et que l'entraîneur dispose, il y a donc dans la hiérarchie au-dessus de Wantier de plus grands responsables, non ? Gasset par exemple n'aurait-t-il pas sa part dans la gabegie ? avant même la fin de son passage j'avais émis la crainte que le château de cartes ne s'effondre ( ce furent exactement mes mots ) r

Les joueurs zon kapa se blesser.

Tiens, un fusible a pété.

Enfin un commentaire réaliste et tout simplement humain. Rare sur le marché.

Analyse fouillée et hautement recommandable ! https://peuple-vert.fr/actualite/crise-a-lasse-mais-ou-sont-donc-nos-meneurs-de-vestiaire/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+peuplevertrss+%28Peuple-Vert.fr%29

A l'aide de rumeurs ramassées dans les corbeilles à linge sale du vestiaire et des ragots de vieux copinages, Ménès appuie sur les ecchymoses et autres fêlures actuelles qui font mal en effet. La chute verte n'est pas pour lui déplaire visiblement. Il se joint donc à l'envolée de charognards qui prend de plus en plus d'ampleur, quitte à donner des arguments qui ne collent plus à la réalité. Puisqu'il y a aujourd'hui une telle incapacité à formuler des analyses que les chiffres passent pour la vérité absolue, que le gros homme aux grosses certitudes se penche sans tomber sur les notes attribuées par les spécialistes à nos anciens depuis le début de la saison. Qu'il nous dise si elles sont dignes de salaires à 200 000 euros et plus. Je ne partage pas tous les choix de Puel mais je lui trouve du courage et on sent qu'il a de vrais objectifs qui dépassent un coup-furtif-et- je-pars- voir- si-Blanc-a-un-job-meilleur-pour ma-pomme-..

Est-ce moi que vous interpelez, Jofran ? Il n'y a pas de solution miracle en effet. L'entraîneur ne peut que faire pression en cas de rendement non conforme aux contrats juteux. Le boulot de la section de recrutement est de trouver une porte de sortie aux joueurs qui pour des raisons techniques, athlétiques ou comportementales n'entrent plus dans le projet.

Finies aussi les blessures, hein ?

J'ajoute ;;; donnez à Puel le budget dégagé pour Gasset et les vaches seront mieux gardées.

Ai-je écrit qu'il fallait exclure des joueurs confirmés ? mais faut-il verser des salaires de 200 000 euros à des joueurs qui n'apportent pas plus que des jeunes et dont l'implication est discutable ?

Puel tente quelque chose que ses prédécesseurs n'ont pas osé tenter, renverser la table et repartir sur des bases saines. Cela veut dire mettre fin aux grasses rentes mises en place, dont l'effet fut éphémère et nous laisse sans ressources. Puel regarde l'avenir et met à l'essai les jeunes à la valeur encore très hypothétique. Il a du courage, il a certainement fait de mauvais choix mais le changement ne pourra pas se faire sans pots cassés. Soutenons le. Cela ne signifie pas le déifier. Sortons des illusions . Les M'Vila, Cabaye, Perrin, Ruffier, Kolo, Boudebouze ont eu leur temps, ils ne sont pas notre avenir et leurs salaires nous plombent.

Je ne crois pas que Puel lâchera si "on" ( j'entends les joueurs, les supporteurs ) ne lui rendent pas la place intenable

Le vôtre est bien meilleur, on n'en doute pas.

" La cigale ayant chanté tout l'été se trouva fort dépourvue quand la bise fut venue " Tout lien avec l'actualité du club serait purement fortuit. Au moment de l'ère Gasset le contre-coup de la coûteuse politique d'urgence me paraissait inévitable, mais aggravé par les blessures et les départs, il est plus rude que je ne pensai alors.

Phrase historique empruntée au gratin du reality show. Impressionnant et très convaincant.