C'est le lyonnais mâtiné de messin qui va être content. Sa provocation a eu auprès d'excités brachycéphales le résultat inespéré. La meilleure réaction eût été une froide indifférence, mais on ne peut décidément pas en demander trop à ces faux amis du club en quête de sensations fortes.

La CGT avait coupé le courant à mon réverbère.

erratum :"fasse" et non pas "fasses"

Une nouvelle fois merci, Lifegreen pour cette petite fiche technique. On souhaiterait que l'entraîneur fasses des analyses aussi précises. Car si BATLLES s'exprime avec ses joueurs comme il le fait avec la presse, je ne vois pas ce qu'ils peuvent comprendre. En tous cas moi je ne comprends goutte;

Pour une fois que nos limiers nous sortent du chapeau un bon numéro, v'là que nos petits épiciers vont le remettre au rayon promotion. A désespérer.

Voilà un joueur qui aurait tiré profit d'une journée de relâche dans la semaine.

J'ai déjà exprimé il y a déjà longtemps cette idée que la ferveur du public est à double tranchant. Nous avons, paraît-il, recruté une psychologue pour la préparation mentale. mais a-t-elle l'expérience qui correspond à ces situations particulières de confrontation à des foules de plusieurs dizaines de milliers de personnes, - qu'elles soient hostiles ou pas- ? Garder la tête froide et le pied sûr au milieu de la surexcitation générale requiert une vraie préparation mentale. On le voit bien dans les conflits sociaux. et les affrontements de rue. De son côté BATLLES me semble, - à lire ses interviews- doté d'une éloquence ultraplate. Qui plus est, cette absence de jour de repos entre les deux matches était-elle forcément positive? Pas sûr du tout..

Est-ce que la ferveur du public leur est montée à la tête et les a déconcentrés? ce n'est pas la première fois que le public venu en nombre record est reparti penaud en tous cas. La fatigue, si elle était un excuse, se serait fait sentir principalement en deuxième mi-temps. Là on a vu en première mi-temps des joueurs mentalement pas prêts ratant de nombreux gestes techniques.

Ce n'était de ma part qu'une supputation de supporteur impatient et un maigre espoir.

La belle série en cours et le regain de ferveur du public devraient commencer à dresser les oreilles des investisseurs.

La plastronade, la fanfaronade et la limonade sont les breuvages habituels du stéphanois dès lors qu'il dépasse la ligne de flottaison. Attention à la dégonflade !

Et nous les avons gagnés sans lui, ce qui est plutôt rassurant.

Que ces pépins, pas vraiment imprévisibles, permettent à SOW de prendre de la bouteille.

Si les mauvais moments forgent une équipe, alors nous avons de quoi en faire plusieurs.

Un but de ce calibre n'est pas à la portée de tout le monde. Va falloir verrouiller les portes de GG pour ne pas se faire chouraver* cette pépite. Sûr que les acheteurs potentiels vont s'abattre sur notre jeune trésor comme la vérole sur le bas clergé breton au Moyen Age. ===== *NDLR : "chouraver " vieil argot dérivé du légume le chou rave que les va-nu-pieds et sans dents d'antan chapardaient alors. Lire les Mystères de Paris d'Eugène Sue, un régal du langage fleuri des bas fonds.

Dans la mythologie grecque PHAETON, est le fils du dieu Soleil. Il y a une seule légende à son sujet, c'est celle de sa chute. Ayant emprunté le char solaire de son père, il en perdit le contrôle et embrasa le ciel et la terre.... Heureux présage ?

La morale de l'histoire c'est la contention des salaires dans des limites raisonnables. Nous être affranchis de cette règle nous a valu des désillusions, ainsi les dépenses faites sous GASSET ont-elles été une bombe à retardement.

L'objectif de la direction doit être de concocter un effectif d'avenir qui rende plausible une progression constante, voire la remontée en L1 dès la saison prochaine et ainsi convaincre des investisseurs sérieux.

Je salue l'intervention contradictoire de Suppvarois et ne ne récuse pas ses arguments. Mais quant aux déceptions de jeunes prématurément encensés on peut opposer les illusions causées par les anciens beaucoup plus coûteux dont les fans ont cru à l'immortalité. Pour moi ce culte des ancêtres et son coût ont causé notre faillite. Le fait d'aimer les joueurs pour ce qu'ils ont fait ne doit pas nous aveugler sur ce qu'ils pourront faire.

J'ai l'impression que le PAVLOVIC est décidément banni;

J'entends bien les arguments que vous développez, cher Lubo, mais KRASSO a un bagage technique et une constitution physique solides. Le prolonger permet aussi, si les deux parties s'entendent, un départ sous forme de transfert rémunérateur pour le club. Vous lui faites un procès d'intention quant à son état d'esprit futur alors meme qu'il ne cache pas son bonheur de vivre à Sainté. Il y a un moment où le physique ne suit plus en dépit de l'ardeur et de la volonté du joueur, voir DEBUCHY, voir PERRIN, voir HAMOUMA, voir KAHZRI, voir BERIC. Beaucoup de supporteurs ont tendance à se référer au passé du joueur en oubliant que les années apportent l'usure du corps, les séquelles de blessures, les fragilités. La vieille garde de GASSET a commencé à s'effondrer avec PRINTANT alors que tout semblait inchangé.

Un salaire de 100 000 euros mensuels çà motive aussi à 34 ans et dans son état actuel. Désolé d'être peu romantique. KRASSO ne touche que 17 000 euros par mois. La leçon de l'expérience GASSET et de son quintette de joueurs surpayés en fin de course doit rendre très prudent et réaliste. Nos finances incitent à la réflexion, nous n'avons pas là des smicards en situation précaire. CHARBO pourquoi pas, mais à condition que sa prolongation ne fasse pas obstacle à celle de KRASSO qui selon moi doit être prioritaire avec celle de NKOUNKOU. KRASSO a 25 ans, l'ami CHARBO en a 34.

La rançon d'une gloire durement acquise sur les fronts de stades divers ... Franchement choquant et inacceptable, je l'admets, .... comme le furent certains comportements de ceux qui se réclamèrent supporteurs de notre club..

Vous connaissez sans doute mieux le monde des affaires que moi, mon cher Jofran. On me traite souvent de naïf en effet.

Réponse surprenante, Dam. Je m'attendais à tout sauf à celle-là. Vous croyez donc à l'immortalité de cette direction bicorne, ou plutôt biscornue, comme beaucoup croyaient à l'immortalité de joueurs en voie de péremption. L'avenir serait donc derrière nous. Curieux sens de l'orientation que le vôtre. . Je n'ai d'ailleurs pas la prétention de m'adresser à Roland ROMEYER, mais à ceux qui insultent publiquement un homme, en l'occurrence lui.

Pour proférer des insultes publiques de ce niveau, et passer la semaine à se ronger la cervelle pour trouver ce qu'il y aurait de plus bas et de plus humiliant, ensuite ripollner pendant des heures sur des torche culs grand format, ' faut vraiment avoir une vie complètement vide et n'avoir rien à foutre. Pauvres gars ! ROMEYER sait qu'il doit partir, tout le monde pense que son départ est indispensable, nécessaire incontournable, inéluctable. Le club est-il déjà pas ou pas encore en situation de motiver un repreneur de haut niveau? Répondez, messieurs les écrivains de caniveau.

Moins adulé à GG que ne le fut un BERIC et moins regretté, pourtant ....

Merci Furiana. Je combats depuis longtemps les jugements à la tronçonneuse et la propension trop répandue à ne voir que la surface des choses et à choisir un bouc émissaire.

La levée de l'option de NKOUNKOU est à considérer impérativement. Jeune, dynamique et en progression constante, c'est un joueur d'avenir.

PUEL est arrivé au moment où les cadors cousus d'or avaient déjà levé le pied ou étaient physiquement émoussés, fatigués, empâtés, voire blessés ( Kahzri, Hamouma, Debuchy, Perrin ... ). Après le départ de GASSET les recrues les plus chères de l'histoire verte ne furent que l'ombre d'elles -mêmes. Cela commença avec Printant. Je continue à penser que l'épuration initiée par PUEL était le seul moyen de sauver le club de la faillite. Un certain nombre de facteurs ont contrarié ce plan d'action qui jetait les bases d'un vrai renouveau. Il faut élargir son champ de vision et revoir en détail le film des évènements. Cela relativise et donne à chacun sa part de responsabilité : celle de PUEL mais aussi celle de GASSET, celle de RORO, celle du groupe des copains d'avant, celle de l'arbitrage avec des expulsions iniques, celle de l'accumulation des blessures etc... A un penalty près nous ne descendions pas et la suite eut été tout autre.