Roustan, amoureux conquis des Verts

Club | Publié le par Paul.R | 10 commentaires

Journaliste sportif et amateur de football, Didier Roustan anime depuis une saison désormais "le geste vert", une pastille pour le club où il décrypte après chaque rencontre, un moment fort du dernier match des Verts. Dans un entretien avec le Progrès, il revient sur cette expérience et explique son lien avec l'ASSE. 

Didier Roustan : "J’ai un lien particulier avec l’ASSE, c’est sûr. Je suis du sud. Cannes, Nice, Monaco et Marseille – j’ai des origines marseillaises par mon père – étaient mes clubs fétiches, on va dire. Mais j’ai grandi avec l’épopée stéphanoise. Gosse, on partait à 2, 3 ou 4 en voiture avec un adulte. En 74-75, j’ai vu des matchs de coupe d’Europe. En 76, je suis monté à Paris et j’ai travaillé à TF1. L’ASSE, c’est mon adolescence. Après, j’ai connu de manière plus intime tous les joueurs de l’épopée.

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En 1981, ce sont les années Platini, avec une finale de Coupe de France perdue contre Bastia (2-1). C’était la suite des grands Verts. Après cette grande génération, les gars sont partis les uns après les autres. Il en restait quelques-uns comme Lopez, Curkovic, etc. Mais ce n’était plus pareil. […] C’était une belle équipe, avec peut-être un peu moins de charme. Il y avait un peu plus de stars. Il fallait que ça se mette en place. Il y avait peut-être moins de surprises."

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