Perdriau se justifie sur l'annulation de l’événement Lutte pour un football populaire

Pros | Publié le par Thomas | 18 commentaires
L'association Lutte pour un football populaire a communiqué il y a quelques jours sur leur événement prévu le 11 octobre mais empêché par la mairie. Aujourd'hui, dans le Progrès, Gaël Perdriau se justifie. 
Flash-back, le maire de Saint-Etienne avait porté plainte pour dégradation de l'espace public en août dernier lorsqu'un millier d'affiches "Liberté pour le Kop Sud" avaient fait leur apparition. Il avait ensuite reçu les anciens dirigeants des Green Angels pour leur expliquer les raisons de cette poursuite judiciaire mais aussi pour expliquer "la charge de travail que le décollage de ces affiches engendres pour les cantonniers municipaux". "Je leur ai aussi dit que je regrettais qu’ils aient arrêté de faire des tifos et leur ai promis de contribuer auprès de la préfète et de Roland Romeyer à ce qu’ils puissent les reprendre, dans la limite de la loi", rajoute Perdriau. Ce dernier assure ensuite qu'il allait signer les autorisations pour la journée organisée par l'association Lutte pour un football populaire avant qu'il n’apprenne que 300 nouvelles affiches aient été placardées. "C'est inacceptable" gronde le maire. Même si l'association nie tout lien avec le récent collage d'affiche, le président de l'association n'est autre que l'ancien président du groupe de supporters. C'est une relation qui suffit au maire de Saint-Etienne pour empêcher la journée hip-hop. "Ils se connaissent tous. C’est donc qu’ils n’arrivent pas à maîtriser leurs troupes" conclue t-il.
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