Marina Lorenzo "déchirée" par le début de saison des Verts

Pros | Publié le par Joris | 5 commentaires

La journaliste sportive Marina Lorenzo, passée par Canal+, Téléfoot et désormais sur Prime Video, est revenue sur le début de saison catastrophique des Verts pour GQ. La native de Firminy est "déchirée" par celui-ci. 

Marina Lorenzo : "Je ne suis pas du tout de Paris en effet ! Je suis une Appelouse, oui. Vous avez bien bossé ! Mais si je veux être vraiment tatillonne, je suis de Fraisses, à coté de Firminy, une ville encore plus petite. Mais je ne peux pas vous en vouloir. C’est à une quinzaine de kilomètres de Saint-Étienne. J’avais un an pour le dernier titre de Saint-Étienne… 

Le début de saison est catastrophique, ça me déchire. Les années précédentes j’arrivais à me dire “Bon, ça fait des années que c’est comme et il y a toujours un moment où on se réveille et on arrive un peu à revenir. En deuxième partie de saison, on recolle les morceaux.” Mais là, la peur m’a prise tout de suite, dès le début de la saison. Et elle ne me lâche plus. J’ai pleuré à la fin du match la dernière fois, ça ne m’était pas arrivée depuis longtemps. J’étais hyper affectée, je me suis dit : “ça y est, c’est cette saison, ça va mal finir.” J’ai un pressentiment très négatif. Je me dis que si ma fille naît l’année où Saint-Étienne descend en Ligue 2, ça va être très dur !"


La journaliste de Prime Video a toujours de la famille du côté de Sainté : "Mes parents sont toujours là-bas, mais les anciennes générations disparaissent petit à petit. Mon père est Espagnol et est arrivé dans la région pour travailler. Il a rencontré ma mère qui est Française d’origine italienne et espagnole. La branche italienne de sa famille a monté une boîte de maçonnerie dans Saint-Étienne. Un truc entre frères, c'était une ambiance très rital ! Tout le monde mangeait tout le temps à la maison."

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