Hernandez : "Les supporters sont encore plus géniaux que d'habitude"

Stade | Publié le par Joris | 4 commentaires

Invité de l'émission 100% Sainté chez notre partenaire ICI Saint-Étienne Loire, l'ancien défenseur de l'AS Saint-Étienne, Stéphane Hernandez, est revenu sur l'engouement qui entoure le club stéphanois.      

Stéphane Hernandez a été formé à l'AS Saint-Étienne. Il a porté le maillot de l'équipe fanion entre 1997 et 2005 et a donc connu deux montées en Ligue 1 avec les Verts. Au micro d'ICI Saint-Étienne Loire, il est revenu sur son attachement à ce club et sur l'engouement autour de l'ASSE : "Je suis un fervent supporter, j'arrive toujours à suivre que ce soit sur internet ou regarder quelques matchs. Je vais rarement au stade déjà parce que je suis parti pendant trois ans travailler à Chambéry. Je me perçois comme un supporter maintenant : je suis heureux quand ils gagnent, très déçu quand ils perdent. Je n'analyse pas trop techniquement les matchs. C'est un peu dur d'être redescendu l'an passé mais j'ai l'impression que cette année, les supporters sont encore plus géniaux que d'habitude. Il y a un engouement, ils sont tops, il n'y a pas de problème. Des fois, de faire une bonne saison en Ligue 2 c'est bien pour faire table rase de la saison précédente. Pourquoi pas, à eux de jouer, je suis optimiste, j'adore ce club, j'ai le sang vert. (...) Ah oui ! Être un ancien vert m'accompagne toujours. Même à Chambéry. Je suis parti trois ans à Chambéry, même le petit joueur que j'ai été, quand on sort, quand on va à la boulangerie, on me parle toujours de Saint-Étienne. C'est vraiment incroyable cette ferveur qu'il y a ici, pour un ancien vert c'est fabuleux. En plus moi j'aime bien parler de foot donc c'est super."

S'il n'a pas beaucoup marqué avec les Verts en tant que défenseur (trois buts), beaucoup se souviennent du geste magique de Stéphane Hernandez en Ligue 1 contre Nice en 2004 (2-1), permettant à Feindouno de donner la victoire aux Verts dans les dernières minutes. Stéphane Hernandez revient sur sa talonnade quand on évoque ce souvenir avec lui : "Je m'en rappelle. C'était contre Nice, c'était un centre de Javier Garrido il me semble, ça m'arrive, talonnade, je fais un peu n'importe quoi (sourire). Abardonado la dévie et Pascal Feindouno marque le deuxième but à la dernière minute, il avait déjà marqué sur pénalty avant. D'ailleurs sur l'image, on voit que le jeune Loïc Perrin est en train de s'échauffer. Vous êtes gentils parce que je n'ai pas fait des choses offensives terribles dans ma carrière (sourire) mais ça c'était pas mal."

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