Herbin n'y va pas avec le dos de la cuillère

S'il le réclame, c'est qu'il n'y a pas de cohésion, pas d'unité au sein de son groupe. C'est un aveu troublant. J'ai le sentiment également que les joueurs ne s'investissent pas pour améliorer la situation. Ruffier, ça devrait être le patron, comme Curkovic l'était à une époque. Il transcendait les gars, les bougeait, se montrait exigeant avec chacun d'entre eux. Je me rends compte que Loïc Perrin n'est pas en super forme non plus. Il semble un peu dépassé. Il subit la situation, s'économise. Les autres sont des seconds rôles, des joueurs de seconde zone. Ce ne sont pas des génies, plutôt des rentre-dedans. Mais au moins pourraient-ils faire preuve d'un peu d'orgueil, s'ils en ont."
Source : Le Progrès