Flash : L'ASSE est toujours à vendre !

Club | Publié le par Tibo | 42 commentaires

Avant-hier, les papiers se sont multipliés sur la situation du club, un an après sa mise en vente officielle par le biais d'un communiqué commun des deux principaux actionnaires. 

Ce 14 avril 2021 marque probablement la dernière fois où Roland Romeyer et Bernard Caïazzo ont parlé d'une seule et même voix. Depuis, les potentiels acheteurs se sont présentés (777 Partners, Markarian, Ravishak, Lomakin...) sans parvenir à convaincre les deux hommes. 


Où en est cette vente aujourd'hui ? Au point mort, c'est une certitude. Est-ce que cela veut dire pour autant qu'il n'est plus question de vendre l'ASSE, la réponse est non. De toute façon, la situation sportive du club ne permet pas de se projeter en la matière. Des potentiels acquéreurs attendent de connaître l'issue de cette saison pour se positionner concrètement. La difficulté est toujours la même, un actionnaire est véritablement vendeur (Roland Romeyer) tandis que l'autre se montre beaucoup plus gourmand et versatile (Bernard Caïazzo). 

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Ces derniers jours, la perspective de voir débarquer un troisième actionnaire minoritaire a beaucoup fait parler dans le Forez. Une idée portée par Bernard Caïazzo est amenée aux oreilles des médias par ce dernier. Du côté de la direction exécutive du club, la fin de saison ainsi que la prochaine est en préparation, peu importe si elle se fera avec les mêmes actionnaires ou avec de nouveaux. La perspective d'une troisième tête actionnariale n'est de toute façon pas d'actualité. 


La priorité de la direction exécutive est le maintien et cela depuis le mois de décembre. La volonté des personnes impliquées quotidiennement dans la vie et l'avenir du club est de poursuivre le travail entrepris avec Loïc Perrin. En cas de maintien, le triumvirat à la tête de l'ASSE pourra remettre à plat la politique sportive, les nombreux joueurs en fin de contrat permettant pratiquement de repartir d'une feuille blanche. Si un investisseur parvenait enfin à convaincre les deux actionnaires de céder le club, alors il bénéficierait aussi de cette situation qui peut permettre de repartir sur un nouveau cycle et de relancer une dynamique, si les bons choix sont effectués, mais qui peut aussi s'avérer périlleux.


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