Flash : Interview d'Alonso

Le milieu Argentin débarqué dans le Forez cet été, a répondu aux questions de notre partenaire Vert Foot. Voici en exclusivité quelques passages de cette interview que vous pouvez retrouver en intégralité sur Vert Foot 6, en vente sur Saint-Etienne et toute la région Rhône-Alpes en kiosques. Disponible également dans toute la France sur abonnement. Pour toute question, n' hésitez pas à contacter via mail : redaction.vertfoot@gmail.com Alejandro, tu passes de villes bourgeoises comme bordeaux et monaco à Saint-Étienne, cité ouvrière. As-tu déjà remarqué ce changement ? Oui, un peu. c’est vrai qu’à Monaco, on évolue dans un cadre très particulier. il y a énormément d’étrangers en ville, des néerlandais, des allemands, des italiens et finalement assez peu de français comme on peut en rencontrer à Bordeaux ou à Saint-Étienne. il n’y a pas de ferveur là-bas. après, en terme d’ambiance de ville, Saint-Étienne est différent de Bordeaux au prime abord et ce n’est pas pour me déplaire. ici, ça me parait un peu plus chaleureux. Tes deux dernières saisons à l’ASM furent compliquées. Pourquoi ? Il y a deux ans, nous avions réalisé une belle année où nous avions terminé dans le premier tiers. J’étais capitaine et tout s’était bien passé. J’ai donc demandé un projet aux dirigeants, je voulais savoir comment ils ambitionnaient la suite... Je voulais m’inscrire dans la durée et prolonger. on connait la suite. Justement, non. Tout le monde a parlé dans cette histoire, sauf toi ! C’est simple, je voulais un projet sur trois ou quatre ans, les dirigeants n’ont pas souhaité me prolonger. De plus, on nous avait promis une équipe compétitive et nous avons vu partir en août nenê, Diego Perez et Modesto ! a partir de là, ce n’était plus possible pour moi d’avoir la motivation et l’ambition de tout donner. Quelle est la durée de ton nouveau contrat ici ? Je me suis engagé pour deux ans et demi. Je voulais rester en france où je me plais beaucoup avec ma famille, dans un championnat que je connais désormais très bien. Je ne suis pas un mercenaire, j’aime les projets et saint-etienne m’a convaincu pour cela !