Chavériat : "J'ai peur qu'on descende !"
Ancien attaquant des Verts, Loïc Chavériat s'est confié sur l'actualité de l'ASSE pour ButFootballClub. Très inquiet, le consultant envisage la descente en Ligue 2, même si pour lui, le mercato hivernal sera un véritable tournant pour la suite de la saison.
"Comme tous les supporters, je suis très inquiet. C’est mon club, mais je suis désolé de le dire : c’est catastrophique. J’ai peur qu’on descende. Si ça continue comme ça, on y va tout droit. On ne gagne plus un match ! Ces trois derniers mois, on n’a battu que Metz, le dernier. Les autres prennent plus de points que nous. Tous les autres ! Il faut faire attention. Ce vestiaire a l’air très très compliqué. On ne sent pas les joueurs très impliqués. Sur le terrain en tout cas, ça manque d’unité, de cohésion. On ne sent pas une vraie équipe. Le recrutement est pointé du doigt… Je trouve qu’on tape un peu trop sur Diony. Il avait fait une grosse saison à Dijon, il avait marqué beaucoup de buts. Mais là-bas, il était dans un autre contexte. Il connaissait tout le monde. Ici, il n’est pas aidé. Il n’a pas beaucoup de ballons. Il ne marque pas, il est au fond du trou. Ce serait quand même bien de prendre quelques points avant janvier. Sinon, on va être 15es à la trêve, voire plus bas. Derrière, ça ne rigole pas. Ça gagne. Il faut prendre trois bons joueurs, au moins. A un moment donné, il faut savoir ce qu’on veut. Là, il y a une situation d’urgence : il faut sauver le club. Et pour ça, il faut casser la tirelire. J’espère que les caisses ne sont pas vides. On manque de cadres. Il faut des mecs qui secouent le cocotier, qui tirent les autres vers le haut. Il faut du sang frais."
"Comme tous les supporters, je suis très inquiet. C’est mon club, mais je suis désolé de le dire : c’est catastrophique. J’ai peur qu’on descende. Si ça continue comme ça, on y va tout droit. On ne gagne plus un match ! Ces trois derniers mois, on n’a battu que Metz, le dernier. Les autres prennent plus de points que nous. Tous les autres ! Il faut faire attention. Ce vestiaire a l’air très très compliqué. On ne sent pas les joueurs très impliqués. Sur le terrain en tout cas, ça manque d’unité, de cohésion. On ne sent pas une vraie équipe. Le recrutement est pointé du doigt… Je trouve qu’on tape un peu trop sur Diony. Il avait fait une grosse saison à Dijon, il avait marqué beaucoup de buts. Mais là-bas, il était dans un autre contexte. Il connaissait tout le monde. Ici, il n’est pas aidé. Il n’a pas beaucoup de ballons. Il ne marque pas, il est au fond du trou. Ce serait quand même bien de prendre quelques points avant janvier. Sinon, on va être 15es à la trêve, voire plus bas. Derrière, ça ne rigole pas. Ça gagne. Il faut prendre trois bons joueurs, au moins. A un moment donné, il faut savoir ce qu’on veut. Là, il y a une situation d’urgence : il faut sauver le club. Et pour ça, il faut casser la tirelire. J’espère que les caisses ne sont pas vides. On manque de cadres. Il faut des mecs qui secouent le cocotier, qui tirent les autres vers le haut. Il faut du sang frais."
