Bonnevay : "Ne pas être dans la lumière me va très bien"

"Après Niort (2007-2008), j’avais dit que je ne souhaitais plus être l’entraîneur principal d’une équipe professionnelle. Je voulais prendre du recul. J’avais décidé que je travaillerais soit à la formation, soit comme assistant. Il faut s’adapter et si ça ne convient pas, on s’en va. Je n’avale pas beaucoup de couleuvres car j’ai un caractère qui fait que j’ai ma liberté. Ce sont des choix de vie de travailler avec quelqu’un. Soit on est un assistant béni-oui-oui qui n’apporte rien et qui est toujours d’accord pour avoir la paix sociale, ou on donne son avis s’il nous sollicite en intégrant bien que le coach peut avoir un avis différent.
Vous croyez qu’à mon âge j’ai envie d’être sur la photo et je regrette d’être dans l’ombre ? Je suis très épanoui dans ce métier d’assistant. Ne pas être dans la lumière me va très bien."