A mon avis l'arbitre habite Laval, ( pour les amateurs de contrepetries)

Je m'attendais à ce milieu conforme à la versatilité de Batlles, il aura suffit d'une passe ( décisive) de Chambost pour qu'il soit récompensé par une titularisation, Moeffek ni meilleur bon ni plus mauvais que Lobry, et voilà un milieu construit à l'affectif.

L'orientation du club de plus en plus évidente hélas, acheter low-cost a potentiel supposé pour revendre avec bonus, ambition sportive zéro, peut-être quelques exploits comme en produisent les petites écuries c'est tout. L'ogre de l'Europe devient le Petit Poucet de la Loire. Faut pas se leurrer.

Oui mais ça c'était avant, là c'est 10° L2.

Des joueurs comme Cafaro qui compensent leur qualités techniques moyennes par l'énergie, l'envie et une bonne mentalité sont très utiles dans les combats de L2.

Batlles monomaniaque du foot, propose un système unique sans véritable plan de jeu quand à Larsonneur, bof, trop cour parce que mal placé sur le premier but et sur le deuxième tel un plot à 4 mètres de sa cage, se fait lober sans réaction? Quoi que l'on en dise, il n'est pas meilleur que n'importe quel gardien de L2.

Les investisseurs sérieux qui ont soulevé le tapis vert ont probablement découvert une poussière peu engageante qu'ils n'avaient aucune envie d'aspirer, la vérité serait peut-être là. Le fruit tombera tout seul, n'est-il pas déjà un peu blet même si le vert fait encore illusion.

Si 'exigeance est de vendre tout en gardant le pouvoir quand on a mis le club au bord de la faillite sportive et financière, compte tenu de l'état catastrophique dans lequel les dirigeants ont conduit "leur club tant aimé", on comprends mieux que les investisseurs quittent la table des négociations en courant.

Un que l'on attendait pas et qui arrive par la porte de derrière.

Petrot évoque l'excuse de la coupe du Monde, là je comprends mieux les dégâts de l'usure psychologique dont souffrent les joueurs..

Je crains que l'histoire se répète avec Bouchouari.

Comme quoi les froides statistiques ne rendent pas compte de la médiocrité du match proposé pas l'Asse.

3263 spectateurs, un record! les Verts continuent d'attirer les foules.

"On a tout donné..." dit N'Koukou, facile quand on a pas grand chose à offrir.N'Koukou a disparu au bout de 50'sans doute épuisé d'être allé au bout de lui même. C'est pas rien Rodez.

Romeyer qui déteste foot business, fier, selon lui, de manager le club en bon père de famille, va enfin réaliser son rêve, être le grand président d'un grand club de L2. Ciao la L1, contentons nous du Sainté Nantes du pauvre qui se profile pour la saison prochaine.

Avec son équipe de peintre, Batlles est soulagé.

Je comprends le coach, repartir avec un point contre le grand Rodez en offrant une prestation lamentable ça tient de l'exploit. Encore une fois le ravi de la crèche ou le mou du bulbe nous épate par sa lucidité est la qualité du jeu qu'il propose, sans parler de son talent d'orateur, sa maîtrise de la langue et son habilité à manier les lieux communs.

Si le projet c'est la montée en L1 la saison prochaine, c'est plutôt mal parti.

Bôseigne!

Je me demande qui est tombé aussi bas, les Verts et leur prestation lamentable ou moi même qui persiste à regarder ce match !

Si les prises de paroles du Battles sont fidèlement retranscrites, quelle pauvreté de vocabulaire et de syntaxe, on dirait du Romeyer. Cette utilisation constante du "on" qui n'affirme aucune personnalité autre qu'hésitante est détestable.

Je n'ai pas compris cette décision sans fondement de l'arbitre, excès de pouvoir, faire parler de lui, d'envenimer plutôt qu'apaiser, je n'ose parler d'une intention volontaire de nuire au club mais je n'en suis pas loin tant les faits sont concordants. La décision de la LFP apportera la réponse.

Grossiste en footeux voilà ce qu'est devenue l'Asse, ce dont ne cesse de se vanter son fier président Romeyer.

Krasso, un romantique du foot, ça plait aux Allemands.

Il l'a eut sous ses ordres quand il était entraineur de réserve, c'est la référence de Battles le dénicheur de talent, un coach admiré par Romeyer en lequel il reconnait un grand orateur à son image.

En résumé Romeyer reste fidèle à lui même, bourgeois stéphanois à l'ancienne plein aux as mais qui joue au bon père de famille de la France d'en bas. Son rêve? être riche parmi les pauvres, être le président d'un grand club, mais un grand club de L2, un grand club de L2 capable de réunir 33000 spectateurs pour un match sans enjeu. un grand club de L2 fournisseur de joueurs pour les riches écuries de de France et d'Europe, un grand club destiné éventuellement à faire le yoyo entre les deux ligues, à l'image de certains, comme Metz, Troyes Auxerre etc..., un grand club en devenir le petit Poucet comme ceux qui parfois offrent à leur public quelques victoires de prestige. Stéphanois, faites le deuil de l'Europe, restez à la place où je vous ai conduit, c'est le président qui vous le dit. La Ferrari que est désormais au garage des écuries de collection pour les nostalgiques.

Bêtement? c'est le mot, manque d'intelligence et de mental pour organiser le jeu et offrit une véritable opposition. aux Messins, et non pas cette volonté infantile d'aller à l'abordage sans maîtrise des vagues d'encouragement du public.

593 passes! en comptant les incessantes passes latérales, toi à moi, et les insupportables passes en retrait inutiles. Le reste est plutôt pathétique, une telle domination pour repartir avec 3 buts dans le sac, ça donne une idée de la qualité et de l'efficacité du jeu proposé.

Quand la technique n'est pas exceptionnelle et que le coach conserve un système pas adapté à la qualité de l'opposition, les efforts sont vains, le moral s'écroule, les joueurs tombent de haut et l'équipe se désagrège. 33000 spectateurs trompés par une remontée flatteuse, les éloges surévalués des médias, rentrent chez eux déçus, frustrés mais finalement conscient de la valeur réelle des Verts d'aujourd'hui.

Je n'ai pas mon diplôme de coach mais pour gagner, si c'était l'intention contre Metz devant 30000 spectateurs, je me demande s'il n'aurait pas été préférable de jouer avec une défense à 5 face à des joueurs rapides souvent démarqués trop heureux des couloirs qui leur étaient offerts. C"est pas gentil pour Bordeaux qui, de même, en a pris 3 la semaine dernière, pourrait bien être dépassé par Metz, une équipe habituée au yoyo entre la L1 et la L2.