Les réactions stéphanoises

Christophe Galtier : «Ce sont des points laissés en route à domicile et pourtant, on avait la volonté de gagner avant, on l'avait durant le match et on n'y est pas arrivé. Sur l'ensemble du match, nous avons beaucoup de situations favorables que l'on n'arrive pas à concrétiser. Je n'ai pas grand-chose à reprocher à mes joueurs. On a fait ce qu'il fallait, on a appliqué ce que l'on sait faire pour se procurer des situations, pour avoir la maîtrise du jeu, pour avoir une emprise sur le jeu. Malheureusement, nous avons manqué de lucidité dans le dernier geste, la dernière passe et d'autres fois on a manqué de réussite.» Fabien Lemoine : «Nous ne sommes pas récompensés, comme contre sochaux. En première période, on aurait dû repartir aux vestiaires avec au moins un but. On savait qu’il fallait faire un gros début de partie, car on n’aurait pas forcément les jambes pour faire la différence. La tactique a été bonne, on a eu les occasions pour scorer, mais on n’a pas réussi. Apres la pause, ce fut un peu plus laborieux. La, on va essayer de récupérer et travailler pour prendre les trois points contre Nancy.» Romain Hamouma : «Nous sommes tous déçus. Cela ne nous a pas souri. Nous avions bien attaqué la partie. Nous les avions mis en danger. Nous avons eu des situations favorables. Nous avons manqué de fraîcheur en seconde mi-temps", a regretté le milieu de terrain sur le site officiel des Verts. Mais il veut également "garder les éléments positifs". "Si nous avions concrétisé une de nos occasions, cela change complètement la donne. Nous avons toujours essayé de produire du jeu même si nous n’étions jamais à l’abri d’encaisser un but et de perdre le match» Loic Perrin : «A un moment donné, ça va finir par payer. Il faut continuer dans cet état d'esprit-là. Il n'y a aucun syndrome. On va continuer à jouer notre jeu et on va gagner des matches, c'est sûr. Notre objectif était de gagner nos deux matches à domicile consécutifs. Ce n'est plus possible. Maintenant, il faut gagner face à Nancy vendredi prochain, c'est sûr»