Deuxième round entre les GA et Caïazzo

Club | Publié le par Tibo | 75 commentaires
Lors de la venue des Girondins de Bordeaux, les Green Angels avaient adressé un message à Bernard Caïazzo : "Caïazzo : Quand le Président d'un club populaire devient le porte parole du foot Business.". Le principal intéressé n'a semble t-il pas apprécié puisque la sécurité du Stade est rapidement intervenue afin de faire retirer le message. 

Forcément, cette atteinte à une liberté fondamentale a choqué et les pensionnaires du Kop Sud n'ont pas manqué l'occasion de souligner l'absurdité de la chose tout en s'inquiétant des dérives dans les stades de football dans leur dernière feuille d'info. 

"Il y a quinze jours, nous avons déployé une banderole à l'attention de Caïazzo. Sur ce message, il n'y avait pas d'insulte, d'incitation à la haine, de message politiques ou religieux. Nous avons simplement exprimé notre opinion sur l'un des présidents de notre club. Pour rappel, le message était le suivant : "Caïazzo : Quand le Président d'un club populaire devient le porte parole du foot Business." Ce message rentre dans les critères de la Déclaration des droits de l'homme de 1948, qui fut rédigée à Paris et qui précise que "tout individu a le droit à la liberté d'expression... par quelque moyen d'expression que ce soit."
Pourtant, rapidement, la sécurité du Stade est intervenue pour enlever le message. A croire que les stades sont des zones de non droit où même les droits universels ne sont pas respectés. La situation des les tribunes Françaises devient de plus en plus grotesque, on ne compte plus le nombre de nos droits qui sont bafoués. Heureusement, le message a quand même eu le temps d'être visible et Nanard a pu voir qu'il commençait à bien nous gonfler. Pourtant quinze jours plus tard, cet incompétent n'a pas cherché à nous rencontrer pour nous expliquer sa politique à la tête du club. Belle preuve de respect pour son public et de courage, à moins qu'il ne soit peut-être d'accord avec nous ? On lance désormais un défi à ceux qui veulent nous faire taire et qui doivent lire ces quelques lignes. SI le message vous gêne tant, il est désormais imprimé sur 2000 copies, bonne chance pour les récupérer."
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